Quand tu rencontres le fils de ton ex (Mordred/Rhada)

Quand tu rencontres le fils de ton ex

Mordred & Rhadamanthys

Jours 10 depuis son arrivée sur Kosaten

À son arrivée sur Kosaten, Mordred avait voulu comprendre où elle était. Mais la nature de Servant ce qu'elle était, le chevalier de la rébellion avait fait le choix de trouver sur le continent un roi digne de ses services et il n'y en avait pas tant que ça. Kaen était plus dirigé par des chef de tribus que des rois, Shuzâ avait un dictateur cruel, les zones neutre n'avait pas de roi et Shintan était dirigé par un conseil. Dans le lot Reifuu étaient les seuls à avoir droit à un vrai roi, selon les critères du fils d'Arthur. C'est donc vers lui qu'elle s'est présentée et lui a donnée son allégeance pour une unique raison, avoir un toit et une cause le temps de retrouver son ancienne puissance qui lui fait défaut. Hors, le fait d'avoir un lieu pour s'entrainer est le meilleur moyen de gagner en puissance pour une fanatique des combats comme Mordred. De plus, Sou Reï, aussi froid soit-il, rappelle à Mordred son propre père, donc c'est une raison de plus de le servir.

Le chevalier couvert de son armure de la tête au pied attend dans une des salles du palais la venu d'un autre de ses élues afin qu'il lui explique la suite des évènements. Mais comme la parricide s'ennuie, elle s'est plantée devant un garde qui surveille l'antichambre avant la salle du trône qui est le lieu où elle doit attendre. L'un des gardes royaux reste stoïque, alors qu'elle se plante devant lui. Elle commence un étrange duel de regard, le garde restant droit à son poste, tandis que la demoiselle, son épée tournée vers le sol l'observe. Le militaire semble être de plus en plus inquiet de se savoir observé par ce casque dont il est impossible de voir le visage derrière. La magie du casque de Mordred, c'est qu'il la rend anonyme, à moins qu'elle clame son nom. Le garde finit par lever les yeux, pour ne plus la voir, ce qui s'accompagne d'un rire satisfait à l'intérieur de l'armure.

(c) DΛNDELION

Le terrible juge des enfers

Quand tu rencontres le fils de ton ex

Cela faisait bien longtemps qu'il n'avait eu à faire l'émissaire de Long ... Au millénaire précédent déjà : les missions données a Rhadamanthys l'avait amené autant à accueillir et renseigner de jeunes élus a peine arrivée en Kosaten qu'a les aider a quitter ce même monde... Avec plus ou moins de brutalité, il fallait bien l'avouer. Aujourd'hui encore, après avoir été nommé Garde royal : le chevalier des enfers avait pour mission de s'occuper du cas d'un nouvel arrivant qui, selon les informations qu'on lui avait transmises : était quelqu'un cherchant un maître à servir et qui l'aurait trouvé en la personne de l'ancien monarque de Fuyu. Lui aussi avait dû réciter la formule qui lié à jamais une personne au royaume du dragon bleu : lui aussi avait dû se retrouver piégé afin de monnayer sa liberté de la sorte, se disait Rhadamanthys en venant traverser les couloirs du château de son pas métallique.

Les ailes repliées dans son dos et les cornes de son casque fièrement dressé : le juge des enfers dénotait bien avec les tenues portées par les gardes de Reifuu qui, dans leurs styles asiatiques dans le style des anciens mongols; n'étaient pas aussi lourde ni aussi ornementé que le surplis de la wyvern qui donnait à son propriétaire l'aspect d'un être monstrueux empli d'une puissance comme il n'en existait qu'en occident européenne, du moins si on se servait des critères de son monde d'origine... De ce fait : lorsque la silhouette de Rhadamanthys pénétra la pièce du soit disant élu qu'il devait rencontrer, il n'eu aucun mal a deviner qui dans ce lieu tout de même remplis de plusieurs personne, lui mit à part ; n'était pas originaire de Kosaten.

"Ainsi donc, c'est vers toi qu'on m'a mené ... As tu un nom a me donner, élu de Reifuu ?"

Demandât alors Rhadamanthys en congédiant le garde royal d'un regard pour ensuite se concentrer sur la personne dont il s'approchait : celle-ci devait bien faire une tête de moins que lui malgré qu'elle aussi portait une bien intéressante armure lourde à corne ... Plus compléte que la sienne même car aucun pouce de peau n'était visible, pas même le visage. Pour porter ce genre de cuirasse, ce personnage devait provenir d'un lieu où les combats étaient violent ... Intéressant , se disait alors le spectre dont les pupilles dorées vinrent se teindre doucement de rouge afin de voir à quoi il avait affaire et comme il s'y attendait : il s'agissait bien d'un mortel, restait à savoir quoi comme mortel, se disait le grec en ayant une impression légère a la vue des lignes de cette armure qui n'était pas sans lui rappeler le style de l’Angleterre du temps où ce genre de protection était encore porté par la fière noblesse de l'île inconquises.

Ouvrant un instant ses ailes tout en se rapprochant, l'allure du fils de Zeus était lente, pesante mais aucunement balourde car il était bien plus que ce que son apparence pouvait donner à voir : comme si un dragon s'approcher d'un chevalier pour tâter son armure de ses crocs si ce dernier venait à fuir sa présence ... De plus belle, ses yeux vinrent rougeoyer lorsque sa voix tonna de nouveau depuis son visage impassible.

"Je me nomme Rhadamanthys de l'étoile céleste de la férocité, juge de la wyverne des armées d'Hadés du dieu des enfers ... Garde royale de Reifuu et émissaire de Long . En ce jour, tu vas servir a mes cotés dans l'armée de cette puissante nation : tu te battras et mourra pour son roi selon son bon vouloir. Étant le premier élu a être revenue du millénaire précédent du temps où les dieux marchaient encore dans ce monde : j'ai pour ordre de t'instruire et d'évaluer ton potentiel ... Alors dis moi, élu... Qu'as tu fait pour arriver en Kosaten ?"

Savait-il dans quoi il s'était engagé ? Pensait-il que d'être un élu le protégerait dans ce monde ? Connaissait-il les nouvelles limites que son existence lui imposait ? Si comme bien d'autre élu avant lui : ce guerrier en armure se montrait arrogant, il allait apprendre a connaitre les poings de Rhadamanthys.

Quand tu rencontres le fils de ton ex

Mordred & Rhadamanthys

Jours 10 depuis son arrivée sur Kosaten

Une fois son tour joué au garde, elle entend des bruits de pas derrière elle. Elle se retourne pour y découvrir un homme de grande taille dans une armure d'un métal sombre qui lui est inconnue. Loin de se laisser impressionner, elle regarde l'homme approché. En plus de sa grande taille et de son visage fin, il se dégage de lui une image de force comme si c'était un monstre qui s'approchait du fils d'Arthur. L'homme gigantesque demande au chevalier si c'était elle l'élue qu'il devait rencontrer et qu'elle était son nom. Mordred sent que l'individu la jauge et la regarde de bas en haut, ses yeux prenant une couleur sang qui n'est pas des plus rassurante. Le garde avec qui Mordred tuait le temps, n'ose même pas le regarder de peur que ses yeux ne lui envoyent des éclairs.

Le guerrier à l'armure sombre et étrange se présente sous le nom de Rhadamanthys, suivie d'une suite de titre plus ou moins pompeux et enchaîne sur la présentation des rôles que dois jouer Mordred, pour finir par lui indiquer qu'il bien celui qui est sensé l'instruire. Il lui redemande ensuite qui elle est.

La parricide reste silencieuse, puis son casque s'ouvre, ses deux cornes semblent se détacher du casque, ses épaulettes s'élargisse pour les laisser s'y tomber comme si elles étaient attirées par un aimant, puis les parties couvrant sa bouche partent sur l'avant de son armure. On peut voir le bas du visage de Mordred, une bouche et un menton au trait fin, il n'y a pas de signe de barbe ou de duvet et la finesse des traits indiques une personne plutôt jeune et possiblement efféminé. Puis la partie supérieure se détache aussi laissant apparaitre le haut de son visage et sa chevelure blonde. Son visage est la copie conforme de celui d'Artoria, son père, aussi beau et fin que celui du roi. Mordred qui a au début les yeux fermés, les ouvrent, posant dans ceux de Rhada, et avec une certaine fierté, deux grands yeux vert. Son visage est sérieux et concentré et elle pose son épée devant elle, comme pour annoncer qu'elle va se présenter.

"- Je suis Mordred, le seul et véritable héritier d'Arthur Pendragon, le roi des chevalier et de Camelote. Saber des rouges et chevalier de la rébellion."

Mordred lance sur Rhadamanthys un sourire de défie à son encontre.

"- Alors, Rhadamanthys de l'étoile céleste de la férocité, juge de la wyverne, as-tu d'autre chose à me dire que je ne connais pas, où vas-tu encore me répéter ce qui est déjà le rôle d'un chevalier sous serment ?"

(c) DΛNDELION

Le terrible juge des enfers

Quand tu rencontres le fils de ton ex

Bien pratique ce genre de heaume, s'amusa Rhadamanthys en venant croiser ses longs bras bardés de métal contre son torse : couvrant une partie du torse qu'il gonfla a l'idée d'enfin croiser le regard de celui qui semblait si imperturbable dans son armure lourde ... Voir son casque se faire résorber par son armure lui fit penser au nombre de fois qu'il avait brisé ses cornes jusqu'a même fendre la protection de son casque. Ce genre de petit détail pourrait bien lui être utile dans le future mais lorsque la peau blanche de l'élu vint apparaitre à ses yeux : c'est dans le passé de ce monde que le chevalier des enfers fut renvoyé sur le champs alors que ses yeux vinrent s'ouvrir comme rattrapé par le fantôme d'un temps plus anciens.

Un millénaire plus tôt, alors qu'il attendait les ordres de la part de Sul Hei : une femme chevalier vétu de bleu et de métal fut amené a lui afin qu'il se charge de son éducation en ce monde ... Ses grands yeux verts comme des opales, ses cheveux blonds comme le blé baigné par le soleil et les deux cascades d'ors entourant son visage ... Le temps d'un battement de coeur : le juge infernal se retrouva dans une autre dimension où le sol s'était dérobé sous ses pieds : il se voyait en train de voler a toute vitesse dans le ciel glacé de Fuyu pour rejoindre les lueurs du chateau; portant dans ses bras couvert de sang la forme douloureuse d'une flamme qui vacillait malgré l'énergie qu'il mettait pour la garder en vie. Baissant les yeux : il croisa les pupilles vertes où le feu d'une vie passé; était en train de bruler pour rester forte malgré sa blessure...

"Rhadamanthys !"

Son nom crié par la vision vint soudainement le ramener à la réalité et lorsqu'il se retrouva de nouveau dans le présent : il avait la main tendu en avant à quelque pouce du visage de celle qui s'était révélé comme une jeune femme dans une armure d'homme... Un visage qui l'avait beaucoup plus troublé qu'il ne l'aurait cru alors que sa main tendu vers elle : se mit a trembler un instant avant qu'il ne ferme lentement le poing pour le reculer vers lui même en lâchant cependant un grognement serré entre ses dents alors qu'il essayait de se fixer dans la réalité .

"Arthoria ... Non, Saber ... Tu es ... "

De nouveau : sa main s'ouvrit et se figea encore plus prés du visage de la jeune femme alors que le spectre usait de toute sa volonté pour ne pas toucher son visage en ce qui ressemblait véritablement a une caresse tendre s'il devait se laisser aller... C'est avec difficulté qu'il vint alors reculer son bras tout en continuant a porter un regard intense sur celle qui avait le visage de la porteuse de caliburn : une fière guerrière qu'il avait connu en venant a Kosaten, l'une des rares bonnes choses qu'il découvrit dans le calvaire de Kosaten. Lentement, le juge reprit de sa contenance malgré que la vue de ce visage avait irrémédiablement créée une faille dans son masque de rudesse et de force.

"Pourquoi ... As tu le visage d'Arthoria ? "

Demandât Rhadamanthys là où il aurait voulu demander : Pourquoi tu ne me reconnais pas ? Mais il chassa rapidement cette phrase de sa tête alors que son coeur infernal se mit soudainement a chauffer dans sa poitrine sous l'afflux d'une émotion qui ne l'avait plus touché depuis sa période mortelle... Pourtant, il devait se maitriser et essaya de pousser cette sensation en juste fureur devant cette situation inexplicable.

"Quels sont réellement tes liens avec Pendragon ! Parles donc, chevalier de la rébellion ou je vais t'arracher moi même ces réponses derrière ce petit sourire ... Tu n'as aucune idée dans quoi tu viens de t'immiscer ! "

Et pour cause, comment pouvait-elle savoir que le nom qu'elle venait de proposer : était celui de la première femme a avoir redonner un coeur d'homme juge millénaire du royaume des enfers qu'était le demi dieu en face d'elle ?

Quand tu rencontres le fils de ton ex

Mordred & Rhadamanthys

Jours 10 depuis son arrivée sur Kosaten

La tirade de Mordred eut un effet inattendu. Déjà, à partir du moment ou Mordred a laissé apparaitre son visage, le terrible Rhadamandys la regarde avec un air à la fois perdu et assez stupide, comme si cette vue l'avez envoyé ailleurs. Il rapproche alors sa main de Mordred comme s'il voulait la toucher. Mordred ne comprend rien à ce qui se passe et regarde l'action avec un air surpris et étonné. Le juge marmonne le nom d'Arthoria et de Saber, deux noms qui remontent au passé du parricide, qui comprend encore moin ce qui se passe. Surtout que le juge renvoie sa main comme pour la caresser, en seule réponse Mordred a les traits de son visage qui deviennent encore plus durs, devenant encore plus proche d'Arthoria surtout quand elle se bat, fait un pas en arrière et se met en garde face à cet homme aux réactions suspectes.

Rhadamanthys lui demande pourquoi elle a le même visage qu'Arthoria, une nouvelle fois ce nom, le nom de son roi comme le prononçait sa mère. C'est le fait que Mordred ressemble à son père qui le trouble autant ? Puis après ce moment de flottement, vient le moment où il l'a menace avec fureur si elle ne lui dit pas son lien de parenté avec son père. Mordred fulmine de fureur.

"- Et toi, tu n'as pas idée de ce que tu viens de faire. Comment oses-tu utiliser le nom de mon père de façon si familière ?"

Elle lève lourdement sa lame au niveau de son épaule et se prépare à frapper. L'attaque est aussi lente que le permet son corps fraichement arriver, mais on peut sentir que dans ses actions, elle ne reculera pas malgré sa faiblesse. Elle a un visage plein de détermination à défendre l'honneur du roi qui l'a empalé

"- Que l'on me manque de respect est une chose..."

Puis elle abaisse son épée avec toute sa force vers le juge avec un regard plein de colère. Dans un coup lent et pataud, ridicule même.

"- Mais personne ne manquera de respect à mon roi devant moi !"

Le coup est plein de colère et de détermination. Dans sa fureur, elle parle d'Arthur sous le terme de mon roi, par réflexe. Malgré tout le mal qu'Arthur lui a fait, il est impossible de ne pas reconnaitre chez Mordred un profond amour pour son père. Celui auquel elle a toujours voulu ressembler, mais qui lui a brisé toute possibilité de le faire sans un mot. Et même malgré ça, le dernier geste de Mordred, autre que le tuer, fut de tenter de lui toucher affectueusement le visage avant de mourir.

(c) DΛNDELION

Le terrible juge des enfers

Quand tu rencontres le fils de ton ex

Bas les masques ! Les sourires et les salutations étaient déjà bien derrière eux alors que les deux guerriers en armure étaient sur le point de se jeter à la gorge l'un de l'autre ... Dans leurs yeux se lisaient l'incompréhension, la stupeur et une sourde colère pour des blessures qui n'avaient pas cicatrisé complétement. L'une avait péri la main de son père d'une lance en pleine poitrine, l'autre avait perdu la trace du roi de Camelot alors qu'elle était plus vulnérable et fragile que jamais au point qu'il manqua presque d'en venir aux mains avec l'homme le plus dangereux de Kosaten mille ans auparavant... S'ils réfléchissaient un peu : il pourrait passer outre cela et tenter de se rapprocher par cette connaissance qu'ils partageaient.

Si seulement ils pouvaient réfléchir un peu et en cela : ils étaient bien plus proche qu'ils ne pouvaient le voir. Et pourtant : ils étaient là à se faire face ... La lourde épée que levait la femme chevalier était lente et grossière, là où l'épée d'Arthoria était belle et fine... Serrant les dents, le juge concentra alors ses pensées sur les yeux verts de la jeune furie en armure de plate.

"Ton pére comme tu dis; fut elle aussi une élu de Fuyu ! Nous avons été enchainé ensemble et obligé de se battre pour un monde qui n'était pas le nôtre !"

La lame tomba d'un coup sur son épaule dans une gerbe d'étincelle mais ce n'est pas le coup qui frappa réellement le juge mais les lourdes émotions qui s'en dégageait ... Un coups pour un guerrier valait bien mille mot et les vrais combattants pouvaient dialoguer juste avec leurs poings : par cela, le spectre pu ressentir l'espace d'un instant les liens qui unissaient Mordred a son pére... Ainsi que sa douleur.

D'un pas : Rhadamanthys se rapprocha de la jeune femme et planta son visage prés du sien si prés qu'ils pourraient tenter de s'égorger a coups de dents ... Se faisant, il tenta de la désarmer d'un mouvement d'épaule en profitant de la proximité alors que sa voix revint a elle tandis que l'incompréhension faisait doucement place a un nouveau sentiment qu'il laissa apparaitre en un sourire carnassier malgré sa fascination pour les yeux verts de son ancien amour.

"Pour m'être battu avec elle et contre elle : je peux te dire que ton roi aurait honte de toi en cet instant précis..."

Son coup d'épée avait été des plus éloquents pour le juge des enfers qui vint alors reprendre de plus belle alors que son sourire et sa blondeur pour laisser présager un lien impossible entre les deux guerriers .

"Et je ne peux laisser ta faiblesse la faire rougir ainsi ... Si tu es vraiment l'héritier de celle que j'ai considéré comme mon frére d'arme : tu vas devoir me montrer ce que tu sais faire car la personne qui porte le sang d'Arthoria ne peut être aussi faible ! Surtout si elle a la possibilité d'être encore plus fort que la porteuse de Caliburn !" "

Termina alors Rhadamanthys avec le sourire à l'idée de retrouver Saber d'une certaine façon ... Approcher le mirage de celle qui l'avait rendu plus humain pendant un temps comme un peintre s'accrocherait au souvenir d'une muse pour continuer a avancer... De ce fait : le chevalier noir ouvrit l'une de ses ailes tels une myriade d'épée en laissant alors la place à la guerrière de reprendre sa propre arme tout en venant prendre une simili garde d’épéiste pour l'inciter a venir a lui.

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Mordred & Rhadamanthys

Jours 10 depuis son arrivée sur Kosaten

Le coup de Mordred est anormalement lent pour celle qui a réussi à faire tomber l'armée de Camelote. Mais elle ne laissera pas le guerrier Rhadamanthys dire un mot de plus. Dans sa bouche tout a l'air d'un mensonge, il n'inspire aucune confiance avec son armure sombre et son sourire suffisant. L'épée vient frapper le surplis de l'armure avec une gerbe d'étincelle. Le guerrier d'Hadès vient alors se rapprocher du chevalier félon et la désarme d'un coup d'épaule. La lourde épée de Mordred lui échappe des mains et tombe un peu plus loin dans la pièce sous une suite de bruit métallique. Rhada vient ensuite lui rappeler la honte que Mordred est pour Arthoria en cet instant. Les yeux de Mordred lancent sur le guerrier toute sa colère. Elle le sait bien qu'elle a toujours été une honte pour son père, lui, le fils de Morgane, nait femme, sortit de la pire des salopes. Elle pourra faire tous les efforts du monde, elle ne pourra changer cet état de fait. Oh oui, elle sait bien combien elle est faible, mais ce n'est pas la première fois qu'elle se jette corps et âmes dans un combat sans but et perdu d'avance. Alors, quand le guerrier l'insulte une nouvelle fois et se met en position. Mordred tend le bras faisant réapparaitre son épée dans sa main dans une lueur magique et électrique rouge vive, née de sa colère et de sa haine. Elle se met en position, lame prise à deux mains, son visage sérieux n'a jamais autant ressemblé à celui de son père.

"- Tu as combattu avec et contre père et il te considérait comme son frère d'arme ? Parfait."

Des parties métalliques qui se trouvent sur la partie la plus basse de sa lame s'ouvre et vienne se coller sur la garde, comme l'armure de Mordred l'a fait, pour former un catalyseur de la puissance magique de sa porteuse. La lame se met à vibrer, laissant échapper des petites étincelles électriques rouges vives comme reliquat de la puissance réelle de son noble fantasme, une version proche d'Excalibur. Toute son armure se synchronise avec la lame et vibre tout en laissant échapper les mêmes étincelle rouge vive. Elle prépare sa lame, la mettant à l'horizontale, puis charge sur le juge avec toute la puissance qu'elle possède. Un coup où elle met tout son coeur et tout ce qu'elle est, comme celui qu'elle a tenté de mettre à Arthoria durant la bataille de Camlann, avant de finir empalé sur la lance de son père.

(c) DΛNDELION

Le terrible juge des enfers

Quand tu rencontres le fils de ton ex

Alors qu'une énergie rouge recouvrait lentement l'arme de la chevaliere, le spectre lui : convoqua sa force tout autour de son surplis en un manteau d'énergie violacé qui vint alors couvrir chaque pouce de sa cuirasse alors que des éclairs de forces vinrent zébrer le long du métal de son armure ... L'aile qu'il avait déployé a sa droite vint écarter doucement ses lames de métals pour en présenter quatre : chacune presque aussi longue que le juge infernal qui vint alors les réunir en un blocs d'obsidienne imitant le mouvement de son bras droits. Tendant la main tel une dague, le spectre maléfique attendait l'attaque de l’héritière de Saber avec le plus grand sérieux et la plus grande des attentions pour les yeux verts de celle-ci tandis qu'elle levait son épée au dessus d'elle a deux mains... Renvoyant de nouveau Rhadamathys a une époque oublié par tous dans un flashback qui stoppa net le temps ...

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Il se renvoyait alors debout au dessus d'un lac au cours d'une session d'entrainement entre lui et le roi des chevaliers lorsqu’ils eurent retrouver assez de pouvoir pour pouvoir déclencher leurs arcanes fétiches... Elle tenant alors son épée entre ses mains tout en le regardant avec une expression calme et concentré ...

"Aucune retenue ..."

Se mettant en garde tout en projetant sa cosmos énergie tout autour de lui, le spectre répondit a son adversaire alors que sa propre puissance dévorait la lumière autour de lui tout en venant faire bruler sa force de plus belle dans ce qui pourtant, était un entrainement visant à évaluer la force de chacun.

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"Aucune pitié !!! Je ne craint pas ton attaque, aussi puissante penses tu qu'elle soit ! Frappes donc si tu l'oses, Arthoria !!! "

Et la lame lumineuse tomba sur la silhouette du juge infernal dans un fracas d'éclair qui dévora alors sa forme dans une explosion de puissance destructrice...

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Quand tu rencontres le fils de ton ex (Mordred/Rhada) Rhadamanthe

Dans un bruit sec, l'aile du spectre rencontra l'épée de Mordred dans un choc de rouge et de violet sous la confrontration des deux force avant qu'il ne vienne faire glisser la lame sur le coté de son aile pour ensuite projeter son poing en direction du visage de la jeune demoiselle qu'il arrêta net cependant avant de l'atteindre. Là où elle se servait de son épée comme d'une seule arme : chaque partie du corps du juge était une arme mortelle et à présent, il devait lui montrer comment s'en servir.

Doucement, il replia ses ailes dans son dos avant de diminuer l'intensité de sa force autour de son surplis tout en posant de nouveau les yeux sur Mordred tout en se demandant ce que voulait lui dire le destin en le mettant face au sucesseur du roi des chevaliers ? Puis, reprit d'une voix débarrassé de toute la colère et l'incompréhension dans son esprit lorsqu'il stoppa son poing devant son nez.

"Je retrouve le roi des chevaliers en toi : tu es bien son héritier, fils de Pendragon. Moi, juge de la wyvern, reconnait que tu es le successeur de mon amie et camarade, Arthorias. Cependant sache qu'actuellement, comme tous les élus arrivés en ce monde : tu es plus faible que jamais car ta force a été annéantit en arrivant ici. Tu vas devoir t'entrainer sérieusement pour retrouver ton nouveau et dépasser celui de ton père."

Et pour montrer que le combat était bien fini : il retira son casque pour ensuite le présenter a Mordred sans lui lancer afin qu'elle puisse voir son épaisseur et sa forme draconnique afin qu'elle puisse se rendre compte qu'elle venait de croiser un "chef dragon" ou bien tout simplement un être a tête de dragon. Se faisant, il leva une main vers son propre torse et indiqua son épaule de son pouce avec un sourire amusé pour celle qui avait abattut sur lui son épée comme le roi de camelot avant elle.

"En me frappant avec Excalibur : ton père a brisé l'une de mes cornes et mon épaule gauche. Je compte sur toi pour faire mieux que ça."

Dit-il alors qu'il arrivait finalement a faire le tri dans sa tête malgré que l'image des yeux de Saber l’obsédait encore en ce moment même.

Quand tu rencontres le fils de ton ex

Mordred & Rhadamanthys

Jours 10 depuis son arrivée sur Kosaten

Mordred lance son attaque, alors que le juge s'entoure d'énergie et fait bouger ses ailes pour faire face à l'attaque. Il semble toujours ailleurs comme si tous ses évènements avaient un écho dans son passé. Dans un bruit sec, Rhadamanthys utilise son aile pour rencontrer la lame lancée avec toute sa force par l'homonculus. Pour mettre un point final, le juge envoie le sien dans la figure de Mordred qui n'a pas le temps de réagir et qui comprend à cet instant que le combat est terminé pour elle. Mais au lieu de finir son geste, le juge s'arrête juste avant que son attaque touche le chevalier, envoyant sur son nez et son visage un souffle de vent, témoin à retardement de la violence de l'attaque. Le juge semble satisfait et annonce à la jeune femme qu'elle est la digne héritière de son père, lui explique la raison de sa faiblesse avant de l'encourager et de lui dire de s'entraîner afin qu'elle dépasse son paternel. Il lui indique même les dégats que son père avait provoqué avec son noble fantasme.

Un instant, Mordred ne comprend pas vraiment, le fait qu'un frère d'arme de son père, donc un homme qu'il tient en haute estime, lui dise qu'il y a de lui en elle, a pour effet de lui faire baisser la tête en rougissant très légèrement. Malgré les mots de Rhadamanthys, deux phrases d'Artoria lui revienne en tête.
Dans la salle de la table ronde, après lui avoir annoncé qu'elle était son fils, la seule réponse d'Arthoria a cette annonce.

"- Vous ne serez jamais mon héritier."

Mordred semble perdu, alors qu'elle revoie son père lui tourner le dos et partir. Qui s'enchaîne avec leur dernière interaction au point culminant de la bataille de Camlann. Alors que Mordred venait de faire tomber les derniers loyalistes envers son père et qu'elle lui avait demandé s'il haïssait le fils de Morgane.

"- Je ne vous ai jamais méprisé, je vous ai refusé le trône, car vous n'en êtes pas digne."

Elle ne peut pas dire que les mots de Rhada ne lui fasse pas plaisir, mais la voix de son père reste profondément ancré en elle. Mordred se reprend vite et sourit à Rhadamanthys avec un air confiant. Elle fait disparaître son armure et repose son épée sur son épaule.

"- S'il suffit de s'entrainer pour retrouver sa puissance, je devrais vite la retrouver."

Elle pose ses yeux verts sur Rhadamanthys et attend visiblement qu'il continue de lui expliquer la suite des évènements.

(c) DΛNDELION

Mordred sans son armure:

Le terrible juge des enfers

Quand tu rencontres le fils de ton ex

Tiens ? Ce visage pouvait se colorer d'un sentiment qu'il ne s'attendait pas à voir sur ses traits et qui ne manqua pas de lui rappeler quelque chose de rare qu'il avait conservé dans sa mémoire lors d'un moment fugace alors qu'il se tenait a genoux sur un lac qui avait été dispersé par la puissance du noble phantasme de la première Saber qu'il eu rencontré mille ans auparavant... Une main posée sur son épaule pour stopper le sang qui en coulait : le spectre fut obligé de lever le menton lorsqu'une pointe d'épée se dressa sous celui-ci pour le diriger vers un visage souriant d'un chevalier qui le regardait avec douceur alors que c'était ce même chevalier qui avait brisé une partie du casque du spectre tout en fracassant son épaule d'un coup d'épée...

Ce souvenir, il l'avait enfermé dans son esprit lorsqu'il captura ce moment fugace qu'il aurait aimé étendre a l'infinie ... Le sourire d'Arthoria :

"Quel idiot tu fais, Rhadamanthys."

L'avait-elle aidé a se relever ? Avait-il rangé son égo pour se laisser faire ? Il ne s'en souvenait plus car seule le sourire rayonnant du roi des chevaliers l'avait marqué et lorsque le visage de Saber se calqua sur celui de Mordred : La confiance qui faisait briller son sourire au point de laisser apparaitre un petit coté sauvage qui n'était pas sans rappeler au spectre un autre grand blond au visage carnassier ... Se faisant, il se permit alors de sourire à a suite alors qu'elle retirait son armure pour apparaitre dans une tenue plus légère qui ne manqua pas de faire rire le spectre à sa remarque.

"Cela va prendre plus de temps que tu ne penses : il faut parfois des mois voir des années a un élu pour retrouver l'ensemble des pouvoirs mais saches que c'est avec le conflit que les élus guerriers dans notre genre; retrouvent leurs pouvoirs. Allez, suis moi on va au terrain d’exercice pendant que je t'explique ce que tu as besoin de savoir sur ce monde. "

Prenant les couloirs et les escaliers : le spectre infernal expliqua au chevalier de la rébellion l'état des relations entre Reifuu et le reste du monde tout en prenant attention a la prévenir sur l'empire de Tenkasuru car eux avaient la capacité de tuer définitivement un élu... Comment pourrait-elle surpasser son pére si elle meurt avant ? De plus, étant l'une des dernieres personnes a avoir combattu avec Arthorias : il était pleinement en mesure de lui dire si le fils du roi de Camelot avait réellement dépassé son père.

Une fois le terrain d'entrainement atteint avec ses mannequins d'entrainement ainsi que plusieurs râteliers d'armes : Rhadamanthys vint se séparer de son surplis qu'il laissa alors reposer sous sa forme de totem draconnique non loin d'eux, apparaissant alors torse nu et en pantalon de cuir avant de se saisir d'une épée a une main dont la lame était émoussé... Une arme d'entrainement, se disait le spectre avant de plier tout bonnement ladite épée pour se saisir d'une autre épée qui elle : n'était clairement pas là pour l'entrainement.

"Un véritable guerrier ne parles pas lorsqu'il se bat ... Cela veut juste dire que ceux qui pensent comme tel ne sont pas capable de faire deux choses en même temps alors j'ose espérer que tu puisses être capable de me parler de toi et en échange, je pourrais parler de ton père du temps où lui aussi servait l'ancienne Fuyu avant qu'elle ne devienne Reifuu. "

Et fila alors vers Saber en venant alors donner un coups ascendant vers la blonde guerrière : faisant exprès de ne pas user de toute sa force et de toute sa vitesse mais en mettant suffisamment de poids pour pouvoir lui faire bien mal si jamais il venait à la toucher . Plantant par la suite son pied au sol et en le tournant un instant vers l'intérieur : il fit décrire un arc de cercle au dessus d'eux pour venir frapper en direction de la tête de la demoiselle d'un coups vif !

"Il va te falloir affronter et survivre a d'âpres combat pour retrouver ta force car en ce monde : il y'a beaucoup de gens plus fort que les "Servants" du monde où tu viens... Mais le systéme d'élu est comparable : chaque personne invoqué ici bas est un héros pour son monde ou un diable parmi les siens. Pas de Graal à la clé mais nous devons survivre pour trouver l'opportunité de revenir chez nous !"

Puis, il recula d'un pas avant de venir fendre l'air en un piqué fulgurant !

Quand tu rencontres le fils de ton ex

Mordred & Rhadamanthys

Jours 10 depuis son arrivée sur Kosaten

Le juge avertit Mordred que récupérer sa puissance ne sera pas simple. Cela pourrait prendre des mois, voir des années. Cependant, sa nature belliqueuse pourrait être d'un certain secours. C'est dans le conflit que Mordred pourrait retrouver les clés de sa puissance. Le juge l'invite alors naturellement à rejoindre le terrain d'entrainement tout en lui expliquant le fonctionnement de Kosaten. Comment Reifuu, ce royaume qu'elle a promis de protéger au péril de sa vie, régit et ses relations avec les puissances étrangères. Une fois sur le terrain, le juge retire son armure et donne une épée à Mordred, une vraie non émoussé, afin qu'elle puisse le combattre, le chevalier de la table ronde fait disparaitre sa lame et prend celle que lui tend Rhadamanthys. Le juge se met lui-aussi en position et dit à Mordred qu'ils vont devoir parler tout en combattant pour qu'elle en sache plus, notamment sur son père.

Mordred regarde le juge avec un air sérieux et comprend dès le premier coup ascendant du juge l'utilité de cet entrainement. L'épée est une arme réelle, même poids et même tranchant qu'une vraie épée. Même si elle est plus légère que son arme habituelle et que son esprit est aussi affuté que dans son monde, son corps, au contraire, est bien plus lent et pataud qu'avant. Physiquement, elle a tout de commun avec les chevalier qu'elle tuait par centaine, elle est même encore plus faible. La première étape pour contrer cela, c'est bien sûr de ce ré-approprier se corps à nouveau. Les conditions de l'entrainement du juge semble alors des plus optimals pour bien comprendre où sont les faiblesses et les points à travailler pour que Mordred fasse de se corps, le sien.

Elle ne doit qu'à son esprit, entrainer par des siècles de conflit d'esquiver le premier coup. Elle n'a pas poussé le vice de parer la lame pour ne pas se voir désarmé. Le juge lui confirme que c'est bien par le conflit qu'elle pourra grandir et fait un lien entre les servantes et les élue de ce monde. Mais la dernière phrase est celle qui intéresse le plus Mordred, le but de se battre dans ce monde n'est pas le Graal, mais survivre pour revenir chez eux. Mordred saute sur le côté pour esquiver le piquer du juge in-extremis. Elle commence à voir qu'elle n'a pas non plus une grande endurance. Elle va devoir temporiser pour tenir, elle n'a ni la vitesse, ni la force pour attaquer sans trop s'exposer. Il ne lui reste qu'a attendre une ouverture.

"- Si père n'est pas avec toi. Alors, est-il rentré sur notre monde ?"

Cette question l'intéresse, car elle n'est pas certaine que, de une, son père soit trop pour des retrouvailles chaleureuses et ensuite, si elle a des chances de la rencontrer ou non.

"- Je suppose qu'il n'est plus ici, vu comme tu me parles de lui."

(c) DΛNDELION

Le terrible juge des enfers

Quand tu rencontres le fils de ton ex

Le coup fila vers "Saber" sans pour autant l'atteindre, laissant Rhadamanthys observait une vérité qui n'était visible que pour les combattants : Mordred avait du vécu en tant que guerrière et ce n'était pas par chance qu'elle avait lu en son attaque bien qu'un tantinet grossière pour qu'il ne puisse lui faire mal mais même si son attaque ne se voulait pas létal, il l'aurait envoyé à l'autre bout du terrain s'il l'avait touché ! Preuve dont elle avait bien vu la dangerosité de son coup ... Se faisant, il se remit en garde en l'invitant à l'attaquer à son tour tout en reprenant :

"C'est une des rares questions que je me pose moi aussi . Avant d'être piégé mille ans dans une dimension de souffrance et de feu : J'ai perdu la trace d'Arthoria alors que ce monde fut attaqué par la dimension où vont toutes les âmes qui s'éteigne ici ... Le royaume des morts. Je l'ai cherché longtemps mais je n'ai eu la joie de revoir son visage ... Jusqu’à maintenant."

Resserrant sa garde autour de son épée, le spectre vint alors jouer de sa lame dans sa main pour faire alors tourner celle-ci dans ses doigts avant de venir auréoler celle-ci de sa cosmos énergie : venant la faire briller d'une lueur noir jusqu'a ce que des éclaires ne vienne parcourir la lame alors semblable a un trait de foudre crépitante dans la main d'un dieu guerrier.

"Depuis mon retour : peu d'élu de l'ancienne ère se sont manifesté et hélas Arthoria n'en fait pas partit mais le roi des chevaliers peut nous provenir d'un autre temps ou d'un autre univers."

Et il lui expliqua alors ses propres expériences avec un jeune homme nommé Natsu Dragneel : un garçon qu'il a rencontré a deux reprises a quelque mois d'intervalle mais chacun d'eux était une version antérieur a l'autre dans le temps et le plus vieux des deux, n'avait aucun souvenir d'avoir rencontré Rhadamanthys. Puis, il il leva l'épée au dessus de lui en venant saisir sa garde a deux mains en une posture que pu facilement reconnaitre Mordred.

"Son souvenir m'habite encore tout comme toi , je le sens ... Mais sache qu'en ce monde : il y'a de la place pour un nouveau camelot ... Ton père m'en a parlé. "

Finit-il alors de dire avant d'abattre son épée tout en se demandant si ce qu'il venait de dire n'était pas plus percutant que sa propre attaque.

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Mordred & Rhadamanthys

Jours 10 depuis son arrivée sur Kosaten

Une fois son coup esquivés, Rhadamanthys laisse sciemment une ouverture que Mordred tente d'exploiter pour lui envoyer une attaque de taille horizontale. Les muscles de ses bras et de ses poignets la font souffrir, dut a leur manque d'habitude à tenir une épée. Elle parvient néanmoins à tenir le coup et à envoyer une attaque. Un coup que le juge pare facilement et se met dans une position qui rappelle le noble phantasme que Mordred et Arthoria ont en commun. Il concentre son énergie magique dans sa lame pour frapper dans une version obscure de cette attaque qui n'est que la copie de ses deux nobles phantasmes. Il explique dans le même temps les règles concernant l'arrivée des élues sur ce monde, ainsi que les conditions de disparition d'Arthoria. La dernière phrase eut cependant un effet coup de poing pour Mordred, son père souhaité reformer Camelot, ici, sur Kosaten. Mordred est un instant déconcentré alors que le juge lance son attaque. Mordred esquive de peu, mais se retrouve tout de même propulser sur plusieurs mètres en arrière. Elle finit au sol sur le dos et ne bouge pas l'espace d'un instant, mais non pas à cause de l'attaque. Mordred se retrouve renvoyé dans un de ses souvenirs.

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C'était un rêve qu'elle avait fait, un rêve que Merlin avait surement révélé. Mordred était face à l'épée de la sélection Caliburn dans une plaine. L'épée de la sélection était plantée dans son rocher. Il lui aurait suffi de tendre la main pour retirer la lame, mais elle hésite. Elle sait ce que cette lame représente. Sa main se rapproche de la garde avec hésitation, mais elle finit par reculer sa main.

"- Alors, tu ne veux pas tenter ?"

Mordred surprise se tourne vers la voix et tombe sur Merlin, lui souriant avec bienveillance et amusement, alors qu'Arthoria se rapproche de l'épée en marchant tranquillement. Mordred observe Arthoria s'approcher sans que celle-ci ne la remarque, ni ne lui adresse le moindre regard comme à son habitude. Arthoria se plante devant la lame d'un air résolu.

"- Tu sais ce qui se passera une fois que tu l'auras retiré."

" Oui", pense Mordred pour elle-même, "une fois qu'on a retiré cette épée, on ne peut que faire face à un destin cruel."

"- Une fois que tu as retiré cette épée, tu ne pourras plus être humaine, toute vie normale te sera impossible et il n'y a aucun retour en arrière, tu le sais ?"

Merlin dit tout cela avec une voix calme et froide, mais Arthoria loin de se laissait impressionner par ses avertissements, répond directement à son mentor.

"- Oui, mais si cela permet de rendre les gens heureux, de créer un pays où la sécurité et la paix règne, alors je suis sûr que cela ne peut pas être une mauvaise décision."

Arthoria, sans aucune hésitation ou peur, prend la garde de l'épée et la retire sans difficulté avant de l'élever vers le ciel sous le sourire satisfait de Merlin et l'admiration de Mordred. Un rêve qui n'est autre que le souvenir de Merlin.

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Mordred est dos au sol, elle a la tête qui tourne suite au choc et à mal à de nombreux endroits. Elle plante ses doigts dans le sol et essaye de toutes ses forces de se reprendre.

"- Père, pourquoi ?"

Une question dont Mordred possédait déjà la réponse dans ses souvenirs, son père avait fait le vœu de construire un royaume où régnait la paix, la justice et la bienveillance, au prix de son propre bonheur. Un choix qu'elle avait déjà fait une fois et rien ne l'empêche de le faire une deuxième fois. Mordred se met à rire, un rire léger, mais qui sonne un peu faux. Mordred plante son épée dans le sol et tente de se redresser. Elle tremble de toute part, son corps encore faible n'est pas loin de sa limite, si elle n'est pas déjà en train de les repousser. Elle combat la douleur et sa faiblesse pour se remettre debout devant le juge. Avec un sourire amusé et satisfait, comme si elle était dans son élément dans un tel défi. Poussant de toutes ses forces sur ses jambes tremblantes pour se remettre debout. Elle parvient au prix d'un terrible effort à se remettre sur ses jambes cotonneuses, proche de rejoindre le sol à nouveau, mais tenant tant bien que mal, elle regarde le ciel un instant. Elle pense à une phrase que son ancien Master, Kairi Sisigou.

"- Les fils cherchent à accomplir les rêves de leurs pères."

Elle retire avec difficulté l'épée du sol et repose les yeux sur Rhadamanthys, qui n'est pour elle qu'une tâche colorée. Elle avance un pas après l'autre vers lui, toujours se sourire de défie sur le visage. Ses pas sont distordu, tremblant, mais assuré. Son épée traine sur le sol, elle n'est clairement plus en état de se battre. Lors d'un de ses pas, son pied se dérobe, c'est avec beaucoup de difficultés que Mordred parvient à rester debout, tout en continuant de regarder le juge.

"- Camelot ou Reïfuu, quelques soit son nom, je ferais tout pour qu'un royaume parfait existe et que père soit heureux."

Un pas de plus qui s'ensuit par un autre, puis un autre. Le rythme de son avancé est lent. Puis Mordred s'arrête et reste mollement sur place, le regard vide. Sa main lâche sa lame qui tombe au sol. Elle est en train de forcer à tout prix pour ne pas chuter.

"- Que père soit heureux."

Elle s'écroule alors sur ses jambes, perdant connaissance pour avoir poussé son corps plus que de raison après son arrivée sur Kosaten.

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Le terrible juge des enfers

Quand tu rencontres le fils de ton ex

Lorsque l'épée utilisée par le spectre infernal toucha le sol : une déflagration de cosmos vint alors éclater entre lui et Saber en venant soulever un nuage de poussière entre eux sous le souffle de l'attaque tandis que des éclats de métal filèrent dans toutes les directions comme autant d'éclat d'obus qui se serait écrasé sur une surface trop dur ... La cause de tout cela était en fait l'épée utilisée par le juge qui à présent n'était plus qu'une garde qui s'émiettait entre ses doigts sous la force du propre coup de ce dernier à l'encontre de celle dont il voulait mesurer la puissance, la vaillance ainsi que le poids de l'héritage du roi des chevaliers.

Et c'est dans un sourire satisfait qu'il vit alors la forme de Mordred alors au sol mais toujours vivante.

"Ainsi donc, tu as réussis a supporter ce que je viens de t'envoyer : contrairement à mon épée."

Dit-il en jetant celle-ci dérriere lui tout en la regardant alors s'avancer dans sa direction pour reprendre alors de plus belle :

"Moi qui voulait voir de quoi tu étais fait : je suis satisfait de cette petite expérience et je peux dire que tu honores ..."

Mais il se tût alors qu'il voyait que la blonde ne l'écoutait déjà plus alors que chancelante : sa forme s'approchait de lui en venant alors trainer sa lame au sol tel une âme en peine que l'on tirerait de force des enfers ... Déjà elle ne l'écoutait plus, le voyait-elle encore ? Rien n'était moins sur pour le grec qui faillit partir vers elle pour la maintenir de ses bras lorsqu'elle manqua de trébucher sans pour autant toucher le sol : réussissant tant bien que mal a le rejoindre tout en venant souffler de faible mots que le spectre parvint néanmoins a entendre... Puis, lorsque l'épée de l'enfant de Saber vint alors toucher le sol : Le surplis de Rhadamanthys fut projeté sur la silhouette du juge qui, d'une aile; rattrapa alors Mordred pour ensuite la déposer avec une douceur jamais dans ses propres bras... Laissant alors le fils de Zeus observait de plus prés les traits de celle dont le visage l’obsédait encore maintenant.

Se faisant, le spectre se permit alors de souffler en s'élevant dans les airs tout en la portant dans ses deux bras tel un ange maléfique couvert de métal...

"Ton souvenir ne me quitte pas, Arthoria... Et je jure sur mon nom que je ne pourrais permettre qu'il disparaisse ..."

Bien des heures plus tard et couverte de bandage en tout genre, la jeune chevalière fut déposé dans une chambre d'ami d'un bâtiment annexe au château où résidait la seule personne du royal a jouir du statut d'élu et de garde Royal : l'un des nombreux avantages de sa fonction et preuve de son "asservissement" ou comme il aimait parfois le dire, c'était sa cage. Cependant elle présentait l'intéressante possibilité de pouvoir y reposer dans une certaine tranquilité et c'est en ce lieu qu'il attendait que Mordred reprenne de ses forces après avoir fait nettoyer son arme ainsi que ses plaies.

Lorsqu'il remarqua qu'elle reprit connaissance, le grec reprit alors habillé d'une tunique de cuir et d'une grande chemise de lin.

"Enfin reveillé ? Ne bouge pas trop, tu es encore bien affaiblie mais je pense que tu peux toujours user de ta langue alors ... Parles moi : pour avoir longuement conversé avec ton pére il y'a mille ans, je sais que tu n'es pas l'enfant de Guenièvre et il m'a dit comment le magicien de sa cour a fait pour lui permettre de procréer ... Mais contrairement a un des miens : tu n'es pas sortit de la cuisse de ton géniteur alors dis moi, héritier d'Arthoria... Qui es tu ?"

Finit-il alors en lui faisant remarquer qu'un pichet d'eau l'attendait juste a coté sur une table basse si elle voulait se rafraichir.

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Mordred & Rhadamanthys

Jours 10 depuis son arrivée sur Kosaten

Mordred se réveille dans une chambre. Pourquoi elle est là ? Qu'est-ce qu'elle fait là ? Ah oui, l'entrainement contre Rhadamanthys. Le chevalier de la rébellion tente de se redresser, mais ses muscles endolorie la rappelle juste à une dure réalitée. Elle n'est plus une servante prête à combattre à la moindre occasion, un corps fait et modifié pour servir dans la guerre sainte, elle est maintenant une simple femme, fragment de l'esprit héroïque qu'elle renferme. Mordred attrape la broche qui maintient ses cheveux en chignons, lâchant une véritable pluie dorée et lui arrivant jusqu'aux épaules. Puis range la broche sur la table de chevet. Elle vit Rhadamanthys dans une tenue plus décontractée, une simple tunique de cuir et une chemise de lin. Il lui demande si elle est éveillée et si lui indique de ne pas bouger. Il enchaîne avant que Mordred puisse répondre sur le secret de sa conception et lui demande qui elle est.

Qui est Mordred Pendragon ? Le chevalier pourrait répondre par sa phrase d'introduction, mais ça n'aurait pas vraiment de sens. L'héritier lâche juste un long soupire et fait une moue contrarié.

"- Alors, tu sais pour ma salope de sorcière de mère."

Mordred abandonne sa moue pour un visage un peu plus sérieux.

"- Je pourrais te dire qui je suis, mais ce ne se serait que des mots. Du souffle dans l'air qui n'a de valeur que ce qu'il est, autrement dit, pas grand-chose. Si tu désires vraiment savoir qui je suis, juge moi par mes actes et non par mes paroles. Ma conasse de mère était forte pour tromper avec les mots et même père en a fait les frais."

Puis elle reprend avec son sourire assurée et espiègle bougeant les bras comme pour les étirer un peu.

"- En tout cas, actuellement, mes actes indiquent ma faiblesse, se satané portail m'en a laissé assez peu. Je pense qu'il va falloir que je parte m'entraîner le plus tôt possible, parce que dans ma situation actuelle, je vais mourir à la première bataille."

Mordred se met à rire, elle ne perd pas de sa bonne humeur, même dans cette situation. Elle prend le pichet d'eau et se sert dans le verre à proximité, puis elle boit.

"- Merci pour le lit et l'eau, après ce que je me suis pris, ça fait du bien."

(c) DΛNDELION

Le terrible juge des enfers

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De son côté le juge lui s'était offert une bouteille de vin ainsi que deux gobelets sur un plateau de métal posé sur un trépied auprès d'un épais fauteuil où se tenait alors du raisin ainsi qu'un petit livre à la reliure ancienne ... Si ancienne qu'on pourrait faire exploser ce dernier en poussière juste en le serrant trop fort entre ses doigts, mais qui semblait auréolé de la même étrange énergie que le spectre diffusait tout autour de lui lorsqu'il se battait avec Mordred un peu plus tôt ... En vérité, ce livre était entouré de sa cosmos énergie afin d’empêcher que sa structure n'éclate juste en restant à l'air libre, car ce petit amas de feuille et de cuir , était âgé de mille ans : ce fut l'un des rares ouvrages du millénaire précédent qui traitait des élus et de leurs conséquences sur l'époque ; comme quoi être garde royal avait ses avantages, fit le grec en s'approchant de la demoiselle alitée.

"Ton père a partagé bien des secrets avec moi ... Comment ta génitrice l'a trompé et a profité de lui mais si cela peut t'apporter du baume au coeur : sache qu'aucun de nous n'est venu au monde d'une erreur ou d'une tromperie que ce soit, c'est le genre de pensée nait de nos longues discussions l'un avec l'autre car moi aussi je m'y connais quand il s'agit d'avoir un père... Au dessus des autres. "

Fit alors le fils du roi des dieux du panthéon grec tout en la regardant rire pour ensuite lui tendre un autre verre mais cette fois ci remplit de quelque chose de bien plus fort que de l'eau.

"Si tu as suffisamment repris, je t'invite a boire cela : je n'a iaps besoin de te dire que ce n'est pas pour les enfants mais comme tu m'as affronté sans crainte, je peux dire que tu as ce qu'il faut pour partager un verre avec moi, Mordred."

Vint-il dire alors en posant ladite coupe à coté de la jeune femme tout en se rapprochant de celle-ci pour l'inviter a trinquer tout en se souvenant d'une scène similaire dans son passé : avec lui même blessé suite a l'entrainement avec Saber et celle-ci venant alors a son chevet non pas pour lui dire de se reposer mais qu'il faudrait qu'il se lève s'il voulait retrouver son maitre... Tapant directement là où sa fierté pourrait lui faire mal afin de raviver sa flamme guerrière : le tout avec un peu d'alcool bien sur.

Puis, il reprit de plus belle en restant a coté du lit :

"Pour ce qui est de la force : il faut juste que tu saches que ce qui ne te tue pas, te rends plus fort en ce monde. Tu vas rapidement retrouvé ton niveau d'avant, voir même le dépasser si tu es suffisamment motivé. "

Dit-il avec d'ouvrir sa propre chemise pour lui montrer le coté droit de son torse couvert de cicatrice dont l'une d'elle ressemblait a la marque qu'on laisserait après avoir fait un gigantesque trou dedans ... A croire qu'on avait essayé de lui arracher le coeur avant qu'il ne vienne couvrir le coté exposé pour découvrir ensuite le coté gauche où une autre marque était présente : celle laissait par un coups d'épée qui se serait arrêté sur l'épaule de Rhadamanthys après avoir fait éclater son armure ; ailes et épaulières comprises.

"Tu vois cette marque là ? C'est par l'Excalibur d'Arthoria que je la dois ... Et pourtant, comme nous tous : le roi des chevaliers est arrivé en ce monde bien affaibli mais cela n'a pas empêché qu'il redevienne assez fort pour abattre son noble fantasme sur moi ... Et m'envoyer exactement dans ta situation ."

S'amusa alors le spectre en laissant Mordred comprendre qu'elle pouvait retrouver toute sa puissance si elle survivait assez longtemps pour cela.