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Palais d'Eleanor (Post lores)

Sujet: Palais d'Eleanor (Post lores) Dim 9 Aoû 2020 - 12:14
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Palais d'Eleanor


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Palais



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Description : De l'extérieur, le palais domine la nouvelle capitale, perché au sommet d'une petite colline. Ses murs blanc aux toitures bleutées contraste fortement avec l'ancien palais de Zang, tout de noir vêtu. Ici, le message est clair, de la clarté, de la fierté et de la beauté.

A l'intérieur, le mélange d'architecture entre le style propre de la maîtresse de maison, aux couleurs rougeoyantes et sanguines, et celui de Shuzâ, à l'image du serpent et de la nation, donnent un effet nouveau et accueillant. La lumière du jour est légèrement tamisé afin de rendre le lieu reposant et propice aux échanges diplomatiques.










Spoiler:


Dernière édition par Admin le Ven 1 Mar 2024 - 23:49, édité 7 fois
Sujet: Re: Palais d'Eleanor (Post lores) Ven 14 Aoû 2020 - 16:04
Fujin Zang
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Fujin Zang et une oracle.















*Cronch cronch cronch* le bruit de mastication des aliments ne cessait pas. *Crunch crunch crunch*, il croquait même les os et ne laissait rien sur la table *Gloups* une grosse gorgée ça aidait à faire descendre tout ça. Posé sur la grande table de la salle du diner de Zang, le despote avait de quoi faire. Viande rôtie, pavés, foie gras, vin, légumes et fruits, sauce grasse, sang, tripailles et tout ce qu'il fallait pour passer un bon moment de bon vivant. Il était à un bout de table, tandis qu'à ses coté, à sa droite plus précisément, se tenait la jeune Kuri. A peine assez haute sur la grande chaise, elle regardait en silence le dictateur dévorer ce qui lui passait entre les doigts. Jusqu'à ce que ce dernier s'arrête, jetant un morceau au sol et fixant la jeune fille ;

Zang : Tu sais que beaucoup d'efforts ont étés fait pour toi. Il ne faut pas que tu m'en veuille, si je t'ai enfermée, c'était pour une bonne raison.  

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Kuri : Mais vou... Vous m'avez aussi fait du mal et... Ma maison, je veux rentrer chez moi...

Zang : Ah ! Allons bon, je t'ai fait du mal moi ? MOI ? C'étaient mes gardes, ils étaient méchants et je les ais punis. Jamais je n'aurais pu te traiter comme ça. Et ta maison, tu aurais eu autant de choses à manger ? Kuri, tes parents ne t'aimaient pas, ils t'ont vendus quand je suis venu les voir. Regarde...


Zang fouilla alors ses poches et sorti un bout de papier, un peu froissé, qu'il déplia avec ses mains grasses. Une fois a peu près bien aplatit, il le fit glisser vers elle.

Zang : Tu as appris à lire Kuri ?

Kuri : Un peu mais...

Zang : Alors je vais te lire ce qu'il y'a d'écrit, tu n'auras qu'a suivre les mots avec tes yeux. "Je soussignés Otomi et Nadaka, parents de Kuri Noko, vendons notre enfants pour 400 yens." Et blablabla, le reste n'est pas important. Tes parents avaient des dettes et tu as permis de les rembourser. Ils se sont servis de toi et la vérité, c'est que je me sers aussi de toi, mais au contraire d'eux, tu ne manquera de rien ici. Nourriture, toit, sécurité... Tu pourrais en profiter à ton tour. Si tu retournais les voir, ils te jetterais, tu coûterais troip cher à entretenir et la vérité, c'est qu'ils n'ont même pas cherchés à négocier plus. Quand j'ai proposé les yens, ils ont tout de suite acceptés. Moi qui pensait monter à au moins mille yens ahahah.. Oh ?

La petite fondit en larme, elle arriva a lire le contenu de la lettre, puisque la majeure partie des mots utilisés étaient simples.

Kuri : *Snif*, mais bourquoi ils dont fait da... *Snif snuuurfle*C'est... C'est ba juste... Ils baibaient j'en suis sure *Snif* Comme... Comme Ellen, elle baibe aussi et elle ...

Zang : Bien sur qu'elle t'apprécie, c'est moi qui lui ai demandé de te faire sortir d'ici. Je voulais qu'elle s'occupe de toi, je savais que je pouvais compter sur sa gentillesse. Si tu pars, tu vas la rendre triste. Tu as ta nouvelle famille ici Kuri. Tiens, est ce que tu connais ce jeu. Demanda zang en montrant ses deux paumes. Fait comme moi.

Kuri : *Snif* Un.. Un jeu ?.

Puis il vint claquer doucement ses paumes sur les siennes, tout en claquant dans ses mains juste après.

Zang : Trois p'tits chats, Trois p'tits chats, Trois p'tits chats chats chat... Chapeau de paille, Chapeau de paille, Chapeau de paille, paille paille paille...

Fit t'il en continuant la chanson, tandis que Kuri prenait peu à peu le rythme du jeu aussi... Changeant son regard de la peur au contentement, avec même entre le début d'incompréhension, de surprise, de recherche dans le regard... Un sourire naissant sur le coin de sa bouche. Zang s'arrêta enfin à la fin de la chanson.

Zang : Tu vois, suis sur que tu ne connaissais pas cela. Tiens, mange ce morceau de viande Kuri.

Zang prit un gros morceau, le posant sur une assiette et puis la regarda manger doucement la viande cuite. C'était bon, épicé.

Kuri : *Cronch* Mmh.. Ch'est.. Ch'est bon, merci... Mais, du coup, je ... Rentrerais pas ? Et... Ellen, je peux la voir ?

Zang : Je te l'ai dis Kuri, ta nouvelle maison est ici, ta nouvelle famille aussi, moi et Ellen... Mais, surtout moi. Je vais même te faire un cadeau !

Kuri : Un cadeau ?

Le despote se leva de sa chaise et s'approcha de Kuri, avant de lui prendre son bras et faire apparaitre sous son poignet un croc de serpent. Cela fut légèrement douloureux, mais ça ne dura pas et en comparaison avec ce qu'elle avait pu subir, ce n'était rien, mais Zang la rassura un peu en lui carressant le sommet du crâne.

Kuri : Aie aooh... !?

Zang : Ca, c'est le signe que je t'acceptes comme ma fille. C'est quelque chose que je donne a ceux qui me sont précieux, comme toi et Ellen. Finie de manger, tout ce que tu veux, même les sucreries la bas, je sais que tu les regardes Haha.. Sers toi. Ensuite je te montrerais ta nouvelle chambre.

Kuri regarda la trace du croc dans sa chair, qui s'illumina avant de finalement s'encrer comme si il faisait partie d'elle. Ce n'était pas si laid, elle releva le regard vers Zang qui lui montra la même marque lui aussi et puis Ellen en avait un aussi ? C'était... Vraiment vrai alors. Zang l'avait sauvé de la prison en demandant à Ellen et maintenant l'acceptait comme un père ? Ellen aussi avait été gentille... Il n'y avait que les gardes qui effrayaient encore beaucoup la petite. Dés qu'elle en voyait un ses yeux se baissait et elle tremblait légèrement, Zang l'avait vu et comprit.

Zang : Ne t'inquiete pas Kuri, les gardes ne te feront rien. Ceux qui étaient méchants avec toi on étés punis.

Fit t'il en se frottant le ventre, d'un sourire carnassier. Lorsqu'elle eut terminé de manger, ils se levèrent tous les deux et Zang lui prit la main pour l'accompagner. Ils prirent donc le chemin de la sortie, empruntant les couloirs.

Zang : La nourriture t'a plu ?

Kuri : Oh.. O.. Oui c'était bon, surtout... Le sucré, si je peux... En avoir encore plus tard ?

Zang : AHAHAH bien sur, bien sur. En attendant, voici ta chambre. Dit t'il en s'arrêtant devant une porte gardée. Les deux gardes ouvrirent la porte sans dire un mot.

A l'intérieur, une belle pièce, comme une petite chambre de princesse et propre qui puis est. Pas de poussière, lumineux, draps changés, et même une serviteuse courbée en attendant les ordres.

Servante : Je suis a vos ordres dame Kuri, Seigneur Zang.

Kuri : Oo.. Oh to.. Tout ça ?

Zang : Evidemment et plus encore que tu ne l'imagines. Cependant... Le temps de régler quelques détails, tu devras rester ici et ne pas sortir, pour ta sécurité. La servante t'apportera tout ce que tu veux et tu pourras diner avec moi le soir.

Kuri : Tout.. Mais, je suis encore prisonnière ?

Zang : Noon, tu es spéciale et les gens comme toi doivent êtres discret. Tes parents aussi te cachaient parfois, et quand on a quelque chose de précieux, on veut le garder en sécurité. Mais je te promet que ça ne durera pas.

Kuri : Et.. Et Ellen, je peux voir Ellen ?

Zang : Ah, elle t'a vraiment beaucoup marqué n'est ce pas. Oui... Elle sait obtenir ce qu'elle veut héhé... Mais moi aussi, moi aussi... Hmm Ellen, tu l'as reverra bien assez vite, mais ce jour là, je l'ordonne, "Tu me préférera à elle" sur ce, bonne nuit à toi Kuri, demain est un autre grand jour sur Shuzâ.

Kuri : "Je vous préférerais à elle lorsqu'elle me reverra"... Oh.. Je.. Merci, bonne nuit aussi..

Il lui frotta une nouvelle fois le crâne et puis sorti de la chambre. La servante indiqua à Kuri qu'elle pouvait l'appeler à tout moment, puis la porte se ferma et les gardes la gardèrent jusqu'à nouvel ordre. En revenant dans la salle du diner, s'installant encore pour manger, Zang mit un autre "gros" morceau de viande dans son assiette, tout en le fixant avec un sourire non dissimulé il ne pu s'empêcher de dire ;

Zang : Tout comme vous... Votre fille à l'air succulente. Et elle a aimé votre goût également... héhéhé  *Cronch crunch*






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Sujet: Re: Palais d'Eleanor (Post lores) Ven 2 Oct 2020 - 14:54
Fujin Zang
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Fujin Zang  perd une bataille.















En poussant la porte du salon, un garde à un peu de mal à l'ouvrir. Il faut dire que derrière celle ci, une pile d'os est entassés. Depuis combien de temps sont t'ils ici ? Plusieurs semaines c'est sur, plus jours. Des os petits, moyens, gros, des milliers ? Ils forment une pile qui empêche la porte de s'entre ouvrir pleinement, le garde se faufile juste avec son armue. Chacun de ses pas craque, car il ne marche meme plus sur le tapis ou le sol. Une odeur infecte, nauséabonde empeste le palais. Plusieurs gardes viennent désormais masqués avec des foulards que leurs femmes parfumes avant de venir. Il y'a des rats et des cafards. Normalement, Zang n'est pas un as du propre, mais le palais est praticable. Mais aujourd'hui, non, depuis plusieurs jours, le palais est un cimetière !

Une allée d'ossements et de dechets de nourriture fait face au pauvre soldat, qui doit délivrer plusieurs nouvelles au roi despote. Ce dernier est au bout de sa table, comme à son habitude. Il continu de manger, il ne fait que cela de ses journées. A chaque pas son craquement spécifique, sans que cela n'éveille encore le dictateur, qui attend patiemment que son brave garde s'approche.

Garde : Votre altesse, j'ai... Hum.. Des nouvelles de Tenkasuru. La... Grande route à éclaté, nous ne recevrons plus de marchands de Raikou et du Mukaï. Le dirigeant de Tenkasuru, Kerenys, à répondu à cette attaque en tuant un autre élu, Bashô, le fondateur élu de la cité de Shûto tokai, j'ai les transcrits en main propre.

Zang : Approche, je ne vois pas très bien d'ici.

Le garde eu une hésitation claire, il n'était qu'à deux ou trois mètres du despote, mais la pièce, en plus d'être embaumée par l'odeur de la mort, était plongée dans l'ombre. Les rideaux étaient tirés aux fenêtres, c'était un peu comme se retrouver dans l'antre d'un monstre. De plus, Zang dégageait une aura très peu hospitalière... Plus noire que d'habitude. Mais le soldat se ressaisit, prenant une grande inspiration et son courage à deux mains, avant d'avancer, pour n'être plus qu'à quelques centimètres de son dirigeant. Il tendit la lettre d'une main ferme.

Zang attrapa alors le poignet du garde, qui eut un frisson parcourant son échine, avant de descendre sa main pour saisir le papier, puis le déplier de ses doigts bien gras. Le garde, par reflexe et par peur, mis alors ses deux mains dans son dos et resta droit, stoïque, attendant les prochains mots.

Zang : Voyons cela... Aaaah.... Tout ceci me rappelle des souvenirs d'un temps ancien. Autre chose ?

Garde : On m'a prévenu de l'arrivée d'un élu de la nation de Reïfuu venant vour voir. Un campement rebelle a été détruit, nous en avons capturé trois autres et....

Zang : Nan, je me fiche de tout ça... Les rebelles, les élus qui meurent ou veulent me voir... Comme si c'était ma priorité ! Je me demandais simplement, s'il y'avait autre chose à manger ! Parce que j'ai faim, j'ai toujours faim, toujours TROP faim !

Termina alors le dictateur en arrachant le visage du garde, avant de le porter à sa bouche, pendant que le soldat surpris, passa ses mains sur les muscles de sa peau arrachée, à vif, en sang, tout en criant de douleur et de désarroi en voyant la situation. Mais il remarqua autre chose, sa main, celle avec laquelle il tendit le papier pour Zang, avait disparue aussi. Lorsqu'il regarda ce dernier, le despote machouillait son moignon et découpait sa peau de visage dans son assiette, avec un sourire malsain.

Garde : AaaAAaah PoOURQUOI... Aaa... A l'aide... Au sec'....

Mais il n'eut pas le temps de finir sa phrase, que Zang lui sauta dessus pour le dévorer vivant, mangeant son visage en entier, sur son corps crispé. Lorsqu'il eut finit jusqu'aux os du crâne, il arracha le squelette de celui ci, pour le jeter sur la pile de déchet de la salle. Un autre garde glissa sa tête pour observer la fin de la scène et ferma la porte doucement, tout en secouant la visage de dégout et de peur...

Zang : Hin hin hin.. Attendez ! J'ai assez mangé pour aujourd'hui... J'ai l'impression d'avoir loupé quelques jours. Nettoyez moi ça, je ne m'y retrouve pas dans ces ordures.

Garde 2 : Bien seigneur Zang

Le despote afficha un sourire satisfait, rôta, comme s'il avait bien mangé et qu'il pouvait enfin sortir d'un bon repas. Puis il se leva de son siège et se dirigea dans les couloirs. En vérité, il avait fait une sorte d'hibernation à l'envers, ou il s'était empiffré sans sortir de cette salle durant des jours entier et cela avait prit fin avec ... Le pauvre soldat venu lui annoncer les nouvelles. Dans cet état, Zang était comme dans une transe sordide et sombre, mieux valait ne pas l'approcher. Mais maintenant qu'il était plein, de vitamines, de protéines et autres trucs en ines, il voulait voir comment allait sa petite chérie, sa fille, Kuri bien sur !

Se baladant dans les couloirs avec un sourire et une attitude désinvolte, il ouvrit la porte de la chambre, mais, à sa grande surprise, Kuri n'était pas là. Pire, la servante qui était censé veiller sur elle, était morte, égorgée. Les gardes ne semblaient pas aux courant et ne réagissaient donc pas encore, car le despote n'avait pas réagit.

Zang : Ou... Est elle ? Ou est Kuri ? Ou est t'elle ?

Zang commença alors à chercher dans toute la chambre, qui était assez grande, mais ne trouva nulle trace d'elle. Les gardes à ces questions, se regardèrent, avant d'observer la chambre, ne comprenant pas "comment" elle avait pu s'envoler. Le despote se retourna avec un regard très mauvais vers eux, avant de s'approcher de l'un d'eux et de le faire littéralement disparaitre en bouillie de chair sanglante, s'étalant sur les murs et le visage de son comparse.

Zang : OU EST KURI ?

Garde de la chambre : J..je..Je...

Zang : Nan... Pardon, c'est moi, je sais, je vous mets la pression. Désolé, retentons ça calmement après tout. Vous êtiez là, vous faisiez votre job', vous surveilliez les allers et venus, vous avez surement vu quelque chose et vous avez la réponse, j'ai dû... AHhah... J'ai dû m'emporter pour rien, vous savez ce que c'est pas vrai ! Hein, comme quand votre femme vous trompe avec votre frère et que ... Enfin, je m'emporte, du coup, ou est Kuri ? Répéta t'il d'une voix calme.

Garde de la chambre : Seigneur Zang, pitié, je vous assure, nous n'avons laissés passer personne. On a fait très attention, on étaient..

Zang : Plus un mot. Vous allez, vous arracher la langue et la manger, maintenant.

Le garde pleura, mais son corps ne semblait meme pas plus obéir, il mit sa main dans sa bouche et s'arracha la langue, avant de la mastiquer longuement et de l'avaler. Puis il fit une hémorragie et s'évanouit, avant de surement mourir sous peu. Zang observa la chambre vide, avant de remarquer un détail... Un détail infime, gravé sur l'un des jouets offerts par le despote à Kuri.

Un "J" gravé.

Zang : Jirô.... Tekina.... AAAAAAAAAAAAAAAH !!!!!

La suite ne fut qu'une enorme succession de cris de colère du despote, qui venait de perdre une bataille, mais surement pas la guerre. Il ignorait comment Jirô avait fait son coup, mais le rebelle n'avait pas pu venir ici, il était passé par quelqu'un d'autre, quelqu'un de puissant et de sournois. Pour passer le palais et les défenses magiques de Zang, il fallait être un as, mais ce genre de chose avait un prix. Qu'avait t'il fait de Kuri ? En tout cas, le despote n'allait pas laisser passer ça. Il retourna dans la salle du banquet pour s'y enfermer, on pu y entendre des bruits qu'aucun humains ne pouvaient faire... Les soldats qui gardèrent le palais cette nuit là, se pissèrent tous dessus et se souviendrait de cette journée, comme étant la pire. Zang... Préparait quelque chose, de mauvais.


De très mauvais...




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Sujet: Re: Palais d'Eleanor (Post lores) Dim 3 Jan 2021 - 2:59
Fujin Zang
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Nouvelle Année, nouveau cycle.















La lune du nouvel an venait de sonner, ce n'était pas un jour anodin et le peuple de Shûza et particulièrement la capitale, Zang, se rassemblait alors dans les rues. Dans leurs mains des bougies, la plupart se mirent en file indienne et allaient jusqu'à un parc ou demeurait la statue du dictateur. C'était pour fêter une nouvelle année, un nouveau cycle Kosatenien, mais aussi la fête nationale de la ville et du tyran. Cette fête avait également une sorte de tradition particulière. Une fois les personnes rassemblées autour de la statue, des chants étaient d'abord chanté, une hymne en faveur du despote, bien évidemment.

Habitant en coeur :

"Oh puissant Zang, tu veilles sur nous,
Tu mets nos ennemis à genoux
S'il pleut demain, ce sera sang
Des crocs venimeux du serpent
Oh puissant Zang, tu es notre âme
Nous sommes labeur, saignants nos armes

Mais jamais plus, nous ne fuirons
Notre allégeance fait communions
Nous sommes nation, ils se consumerons
Car du serpent, la morsure ils abdiquerons
Oh puissant Zang, nous te veillons
Et sacrifions nos chairs pour le reveillons
"

Bien sur, un cortège de gardes entourait la foule, il y'avait des gardes normaux, des assassins sur les toits, pour la surveillance plus réelle, mais il se trouvait aussi des gardes moins courant, aux armures différentes. Les Garde de la mort noirs (cliquez) qui était la garde personnelle la plus proche et la plus dangereuse de Zang, similaire aux gardes royaux, la crème de la crème. S'ils étaient présents, c'est que Zang n'était pas loin, vraiment pas loin. Deux gardes normaux eurent une discussions à leurs propos...

Garde lambda 1: J'aurais bien aimé intégrer les gardes de la mort noirs. Leurs armures sont vraiment trop belles.
Garde lambda 2:  T'es serieux ? Tu sais pas qui ils sont vraiment ? C'est pas des tendres, je veux dire, ils sont pire que nous. Et on est déjà pas des anges. En plus, ils sont passés personnellement par la source néoromantique.
Garde lambda 1: La source necroman-quoi ?
Garde lambda 2:  Putain, t'es engagé depuis combien de temps toi ? Bon, laisse moi t'expliquer. La source nécromantique c'est une sorte de bain, mais c'est pas de l'eau normale dedans, c'est une source de pouvoir de Zang lui même. Et eux, se sont baignés dedans, ils ne sont plus vraiment humains tu comprends ? C'est... Autre chose. Franchement, j'aime ma nation et j'obéirais a notre seigneur et maitre, mais devenir l'un d'eux... Ils ne connaitrons jamais le repos du guerrier, la mort. Ce sont des zombies.
Garde lambda 1: Merde alors... Ouais, dis comme ça, c'est sur que...

Mais l'un de ces gardes approcha des deux entrain de discuter. Le cliquetis de son armure sur le sol et de chaque pièce cognant l'une sur l'autre firent presque frissonner les soldats. Ils se tournèrent en même temps.

Garde de la mort noir : Vous... Au travail... Pour la selection...

Garde lambda 1: A.. A vos ordre !
Garde lambda 2:  Bien capitaine.

Tous les gardes de la mort noir étaient au moins capitaine ou plus gradés, ils géraient hiérarchiquement les assassins, bien que ceux ci soient plus indépendants, appartenant au "JANOME" le groupe spirituel et fanatique du pays, obéissant aveuglément à Zang et parcourant le monde pour tuer les non croyants, les déserteurs, les Tekinas, enquêter etc etc... Puis bien sur, les gardes de la mort noirs dirigeaient forcément toutes les castes de soldats et gardes de la ville et d'ailleurs, sur le territoire. Mais bref, le silence pesant fut brisée et les deux comparses partaient pour la sélection.

La sélection ? Une des traditions de la nouvelle lune, de cette nouvelle année. Cent habitants sacrifiés à Zang, que le dictateur allait manger. Femme, homme ou enfant, adulte ou veillard, ils étaient choisis aléatoirement et les familles se séparant d'un être cher, avait alors deux choix. Toucher une prime de compensation ou s'engager dans la garde. La plupart prenaient l'argent, mais elle ne réparait jamais la peine. Cependant, la peur est plus forte et si une famille n'acceptait pas de sacrifier l'un des leurs, c'est toute la famille qui l'était, immédiatement. Alors les deux gardes allèrent près de la statue ou cent fidèles s'étaient réunis, prêts à subir le sort.

Menottés, ils étaient emmenés normalement au palais, mais aujourd'hui, Le dictateur était venu lui même, sorti de son palais, d'ou la présence des gardes de la mort noirs en ville. Le peuple cessa son chant lorsqu'ils virent le chef du pays devant eux. Zang, avait eu le temps de digérer sa défaite contre Jirô, la prise de Kuri et la mort de l'un de ses assassins à Tenkasuru. Ce jour, était plaisant, son sourire restait sur son visage. Mais il voulait faire un discours. *Shlack" ce Bruit ? Oh, un partisans de Jirô dans la foule, qui avait été repéré et tué à coup d'épée dans le ventre, rien de bien grave.

Zang : Mes chers compatriotes, je sais à quel point ce jour et ce pays compte pour vous. Je sais que perdre l'un des votre est... Difficile. J'ai eu quelques déboires récemment, contre les terroristes qui continuent d'infliger à notre belle ville, d'incommensurables crimes. Je suis le seul à pouvoir vous protéger sur le long terme et gagner contre les autres. Oui, cela vaut certains sacrifices, mais, ils vont dans un monde meilleur, je m'en assure, je le sais, je suis un élu moi aussi, j'ai vu de mes yeux le royaume des morts et, il est beau, à ceux qui accepte avec honneur ce choix. Alors soyez rassurez, l'aide que vous m'apportez, les récompenses dans l'au delà et fera de vous, mes protégés et de cette nation, la seule à vaincre.

Se léchant la lèvre supérieure discrètement, le tyran se tourna, avec un mouvement de cape pour l'accompagner, et les gardes de la mort noirs se retirèrent avec lui, accompagnant la longue file des cents personnes qui seraient sacrifiés. Quand aux perturbateurs du jour, que ce soit des partisans de Jirô, ou de simples voyous, ils furent pendus haut et court, puis amenés au palais, pas de gâchis !

Ce qui attendait les habitants ? Oh, ils étaient envoyés dans la salle du diner, cinq par cinq, tous les quart d'heure, les autres patientant soient enchainés à la cuisine, soient enchainés dans les geôles les plus proches. Se retrouvant face à Zang, le dictateur ouvraient leurs ventre et dévorait leurs entrailles, la plupart ne pouvaient pas fuir, ni tenté de s'échapper par les fenêtres, car de lourds volets de fer faisait de la pièce une prison. Les cris de torture, de douleur et de peur hantaient alors les couloirs pour la nuit entière. Le sang répandue s'infiltrait dans le sol, mais il ne restait rien de la chair et des os après chaque quart d'heure.

Lorsque chacun arrivait au pas de la porte, il savait... Que l'espoir était mort. Mais c'était un jour de fête après tout, juste... Pas le leurs. Alors surtout, passez une agréable nuit et une prochaine agréable journée, mais pensez bien à une chose...

Souhaitez vous... Une bonne année !



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Sujet: Re: Palais d'Eleanor (Post lores) Sam 6 Fév 2021 - 10:24
Fujin Zang
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Rendez vous avec la mort.
















Garde lambda 1: Nous ne la trouvons nulle part, elle a disparue, complètement.

Zang : C'est bien étrange, mais elle avait changée, elle était, décevante... Au moins, j'ai récupéré quelque chose. Ajouta Zang, en tapotant sur le crâne du squelette de Jael Tekina.

Le despote parlait bien d'Ellen, sa sorcière de la cours, désormais disparue depuis de longs mois et probablement maintenant, morte. Si elle ne l'était pas, elle serait considérée comme une ennemie de Shuzâ, avec certitude. Mais quelque chose embêtait un peu le dictateur depuis quelques temps déjà, il ressentait une onde plus maléfique ou presque aussi maléfique que la sienne dans son territoire.

Zang : Une faille s'est ouverte quelque part, une faille vers un royaume bien sombre... Aaah, ce parfum d'une infinité de morts dévorables, je le reconnaitrais entre mille. Dit t'il, en humant l'air autour de lui. Dans peu de temps, les choses vont dégénérer et je ne sais pas si je veux le laisser faire ou pas. C'est un adversaire coriace, même pour moi, il est un Dieu lui aussi après tout, enfin, si on veut... Héhéhé HAHAHAH HAHAHAHAHA

Le garde ne savait pas trop ou se mettre pendant que le despote riait aux éclats, avant qu'il ne se calme, ce dernier recula un peu contre le mur. Zang se leva de sa chaise en écartant les plats et les balançant aux murs.

Zang : Mon vieil ami, nous retrouverons nous, au bord de l'océan du chaos ? Quelqu'un à ouvert ta porte sans toquer, tu ne vas vraiment, vraiment pas apprécier cela.

Puis le despote se calma un peu, mais il souriait, toutes dents sorties.

Zang : S'il y'a bien quelqu'un de plus affamé que moi, c'est bien lui. HAHAHA Il me tarde ! Est ce que cet abruti de rebelle dont le nom m'échappe est responsable ? Je devrais le remercier. Disposez, disposez, préparez moi dix enfants au fourneau, les parents cuits dans du vint et amenez moi des pains, des fruits et le cuisinier lui même, en dernier !

Le garde disposa avec ses "ordres" particuliers, fermant la porte. Zang ne se rassit pas tout de suite, il se dirigea vers son livre, le feuilleta et puis ouvrit son coffre, sortant un collier un peu particulier, qu'il plaça autour de son cou. Un cercle se traça alors dans le vide, comme une porte, sans s'ouvrir, il se saisit d'une clé à l'allure étrange et la fit pivoté dans le petit trou du collier qu'il portait, la porte dans le vide s'ouvrit alors sur le royaume des morts. Mais contrairement à ce qu'avait fait Yugo et Jiro tekina, ici, ce n'était pas une faille, mais un passage. Une faille était une déchirure menant au royaume des morts, sans aucun contrôle, un passage était un endroit permis, autorisé, suite à des exceptions ou une parole donnée. Zang semblait donc avoir un passe droit jusqu'au royaume de l'au delà et comptait bien rencontrer son roi.

Zang : Bien, un bon diner m'attends, alors, je ne serais pas trop long. Hmm hmm hmm Ricana t'il, avant d'entrer dans le passage qui se ferma derrière lui.

Zang avait rendez vous avec la mort elle même, mais qui sait pour quoi ? Une chose est certaine, il revint bien pour le diner, dans le monde humain normal, cela ne dura pas plus de deux minutes, mais à l'intérieur du royaume, bien plus longtemps, pour sur ! Zang remit donc ses pieds dans son palais et la porte se referma. Il parti s'asseoir à la table, sans un mot. Ce soir la, le despote ne disait rien, mais un grand sourire illuminait son visage terrifiant, constamment.






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Sujet: Re: Palais d'Eleanor (Post lores) Mer 2 Juin 2021 - 10:27
Fujin Zang
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Les recettes du despote














(La chanson chantonné par Zang)



Aujourd'hui, un chant recouvre les couloirs du palais de Zang, quelqu'un chantonne avec ferveur et jovialité, tandis qu'une odeur succulente envahie peu à peu les environs. Les quelques gardes qui sont encore eux même ici, ont souvent l'habitude des bonnes odeurs, elles ne rimes jamais avec autre chose que la mort. Mais ces chansons, elles hantent d'avantage les esprits qu'elles ne font sourire... Le malaise se lit sur les visages, les faciès sont fermés, les bouches sont crispés, la sueur s'écoule des fronts, mais la peur parvient à les canaliser. Il ne faut pas sombre dans la folie, il faut servir, c'est plus qu'un devoir... C'est une obligation vitale !

Quand à ce petit chant du midi, il vient des cuisines, ou normalement, ce sont des chefs expérimentés aux commandes. Oui, mais pas aujourd'hui ! Car aujourd'hui, c'est le despote lui même qui veut être aux manettes. Veritable marmiton, il se prépare parfois ses propres petits plats et la recette savoureuse d'aujourd'hui ? Tender d'enfants panés, confits avec une sauce au pommes légèrement épicée !

Mais tout de même, le plus étrange dans ce chant, et ce qui mettait mal à l'aise les gens ici, c'était peut être l'écho qui ressortait. On avait comme l'impression d'entendre les enfants chanter avec lui... Non ?

Zang : Laaa laa lalaaa Juste cette fois, coupe tes doigts, juuuuste demain, coupe tes mains, uuuun peu plus tard, transforme toi en laaard eeeet pour ce soir, dans mon estomac veut te voiiiir laaaa liii laaa louuuu hmm mhh hmm mhh naaa naa naa laaa chauuuffe doucemeeeent, laaa li la laaa, dépiaute la peauuu et broie les ooos naaa ni na naaaa héhéhé aaaah parfait comme ça ! Ajouta Zang, en tapotant sur le crâne du squelette de Jael Tekina.

Bardé d'un grand tablier blanc, il étale alors sur la grande table en acier, le corps de cinq enfants, âgés de 4 a 7 ans. La chair reste ainsi vraiment jeune et dodue, bien tendre ! C'est le premier élément de la recette après tout. Mais ne pensez pas qu'il est tout seul dans cette cuisine, hormis les cadavres je veux dire. Non, bien sur, il faut aussi être au service du peuple parfois ! C'est pour cela, qu'il a convié généreusement les parents qui ont vendus leurs propres enfants, pour assister à la confection de ce plats.

La plupart trembles, suent, ne regarde que leurs propres pieds, les dents serrés... Vendre son enfant en pleine capitale, ce n'est pas un forfait, c'est même légitime et ça permet de se prémunir de tout autre sacrifice pendant longtemps. Ca donne même parfois des droits supplémentaires, la milice vous embête peu, vous gagnez même une prime bien souvent, permettant de vivre convenablement durant plusieurs mois, voir une année parfois !

Mais à certains moment, Zang aime se mélanger au peuple qu'il aime tant. Alors ils sont là, dans la cuisine fermée à double tour, sans gardes, mais pourtant, ils ne bougent pas. La seule condition qu'ils avaient, était de prendre des notes. Des notes ? Oui, de la recette bien sur !

Zang : MES très chers amis ! Bienvenus dans .. Hé bien ma cuisine ahah ! Vous m'avez vendu une viande de choix et je tenais à vous en remercier. Je sais combien c'est difficile pour vous. Mais voyez le bon coté des choses, vous n'allez pas repartir d'ici sans rien, j'y tiens ! Alors soyez prêt à noter, ma recette gouteuse de tenders ! Pour commencer, la sauce !

Pour la sauce, c'était simple. Il disposa les bols et divers contenants sur un autre établi en bois. Pris une cuillère et un couteau.

Zang : Pour environs 30 a 40kg de viande, il vous faudra 2 kilos de pommes, donc ici, la moitié 10kg. C'est conséquent, mais tout ça va vite se transformer. Ensuite, cannelle, poivre, quelques gousses de vanille, ce beurre salé traditionnel, 100 gramme de sucre, 2 litres de crème liquide. N'oubliez pas qu'une fois chauffé, on prend en compte l'évaporation de celle ci et certains élément. Puis, ça laissera assez de sauce pour tout le monde.

Sauce confit de pomme a écrit:
INGRÉDIENTS
- 2 kg de pommes de différentes variétés.
- 2 gousses de vanilles entières.
- 35 g de beurre demisel.
- 100 g de sucre.
- 2 litres de crème liquide

Il commença a sortir un énorme moule, puis ouvrit légèrement le four qui chauffait déjà depuis un bon moment. Un peu comme une cheminée, on n'éteignait jamais ce dernier ici ! Il beurra alors le grand moule xxl, puis disposa les pommes pour les couper. Il y'avait plusieurs écoles pour la découpe, mais Zang préférait les peler, puis les trancher en petites lamelles ou en dés. Une fois fait, il fallait alors les  les attendrir dans un bain marie, pour les broyer et obtenir une sorte de pâte homogène.

Zang : Fiew ! C'est du travail de bien manger... Qu'on ne me dise pas que je ne suis pas au service de mon peuple après tout ça ahah ! Bien bien, observez. Cette pâte de pomme est pour un demi corps, je ne peux pas tout faire en une fois après tout. Mais ça suffira ! Puis vous pourrez refaire ça chez vous, en diminuant les doses pas vrai ? Bien, alors maintenant, on mélange la pate au sucre , au beurre et à la vanille. Vous saupoudrez aussi légèrement de cannelle à la fin. Mais mélanger à la main, pour plus de sensations.

Préparation de la sauce a écrit:
Préparation :

1.Allumez le four, montez le à 180 °C
2.Beurrez légèrement un moule à manqué à bord haut.
3.Coupez les pommes en quatre, pelez-les et retirez le coeur.
4.Coupez chaque quartier de pomme en quatre lamelles (ou en dés)
5.Faire cuire les pommes au bain marie pour les attendrir, puis broyez les pour obtenir une pâte
6.Mélanger la pâte au beurre, vanille, puis ajoutez 3g de cannelle pour 100g et 3g de poivre pour 100g
6.Intégrez la pâte au moule et insérez la dans le four
8.Laissez cuire 30 mn puis retirez le papier et laissez les pommes dorer en surface.
9.Préparez la sauce : faites caraméliser le sucre dans une casserole, sans y toucher.
10.Lorsque le caramel est blond, retirez-le du feu et ajoutez le beurre, en remuant avec une spatule.
11.Ajoutez la crème et mélangez : la sauce s’épaissit.
12.Laissez-la refroidir.
13.Servez les pommes à la cuillère, tièdes ou froides, accompagnées de sauce caramel.

Il fallait suivre, la recette de la simple sauce était complexe, mais c'était ensuite pour obtenir un savoureux mélange sucré salé, effet sur les papilles garanti ! Zang s'occupe d'intégrer la pate au moule, puis de le mettre à cuir une bonne demi heure au four. Pendant ce temps, la sauce plus liquide, avec la crème, qui parsemerait le confis, qui lui, irait avec la viande, devait être fait également ! Pour elle, c'était plus simple. Il suffisait de cuire le sucre pour le carameliser, puis d'y ajouter beurre et crème, en mélangeant. Ce qu'il fit, s'en mettant un peu sur les doigts, il rigola bien, comme une bonne blague.

Zang : AH ! Et voila, j'en met partout ! Quel diable je fais... Tiens, vous là, prenez le relais pendant que je m'essuie les mains !

Parent victime 1 : M.. Moi ? Je..

Zang : Oui, oui vous ! Allez venez par là, dépêchez vous.

Le tyran de Shuza, invita le pauvre père de l'un des enfants tranchés en deux ou en trois sur la table d'à coté, à joindre ce dernier, pour remuer la sauce, pendant qu'il s'essuyait les doigts, se lêchant un peu les ongles. Sa main tremblotait, il n'osait pas regarder ni Zang, ni le corps de l'enfant qu'il avait vendu. Il failli même dégobiller sur place, mais ça aurait vraiment tué la recette ! Le despote le poussa donc, et reprit le fouet.

Zang : Incapable ! Vous allez faire tourner ma sauce à ce niveau là. Bon plus qu'à attendre que ça finisse de cuir. Mais en cuisine, il n'y a pas de temps mort, place aux tenders ! Ricana t'il

Le parent, qui était revenu dans les rangs, commença a pleurer, il n'arrivait pas à se retenir, mais il essayait de faire cet effort, surtout en croisant le regard serieux du dictateur une première fois. S'obligeant à demeurer insensible, en se faisant mal aux poignets. Les autres aussi étaient témoins de ce spectacle macabre... Mais ils ne pouvaient rien faire, ou rien dire. Le tyran lui, continua sa recette, se tournant vers les enfants cette fois ! 30 a 40kg par corps, mais il se concentrerait sur un seul, un gamin de 9 ans, ou 10 peut être, dans les 36 kilos. Il prit un grand couteau, qu'il aiguisa encore sur place.

Pour les tenders, il fallait viser la chair dodue, blanche et grasse. Les fesses, les cuisses étaient de très bons éléments pour ça. C'est donc ce qu'il découpa, même si tout serait mangé, tout ne serait pas en tenders bien entendu ! En gardant le plus tendre, sur 40kg, il n'y avait plus que 15kg de tenders, le reste servait comme supplément, mais s'accompagnait tout aussi bien avec le sauce, d'ou l'excès de celle ci pour ce plat calorique et familial !

Shling ! c'était parti, le premier morceau tranché, puis un second et ainsi, s'en suivait le découpage du corps des enfants, pour obtenir la chair bien fraiche. Prenant un des morceaux, il s'approcha des parents et le secoua devant eux.

Zang : Vous voyez comme c'est tendre ! Léger ! Une vraie gourmandise. Et bien nous allons devoir frire tout ça et pour ça, nous aurons besoins d'œufs, de farine, de panure et bien sur de pas mal de bonne huile. Personnellement, je les ferais frire dans de l'huile d'olive, pour un meilleur goût.  Finit t'il, en cessant de secouer le bout de fesse.

Puis il parti vers l'établi, les oeufs avaient déjà étés battus et mis en bols, servant donc à impregner la viande. Une fois celle ci bien saucé par les oeufs, il ne restait plus qu'a enfariner le tout et y coller la panure. Pour sa part, Zang avait un mélange de pain et de graines pour le coté croquant et gouteux ! Après avoir fait la même chose de tous les morceaux, trempez les dans l'huile bouillante, puis faites les frire jusqu'à obtenir les morceaux croustillants et délicieux.

Recette tenders a écrit:
Recette Tender :

1. Filet d'humain
2. Huile d'olive (ou végétale)
3. Farine
4. Oeufs battus
5. Graines de céréales, panures de pain
6. Epice, sel, poivre, paprika, curry, ail...


Préparation Tenders a écrit:

Préparation

1. Découpez en tranche vos filets
2. Préparez vos céréales, panures de pain, farine, oeufs battus dans des bols séparés
3. Faites chauffer l'huile
4. Trempez vos tenders dans les oeufs
5. Trempez les dans les épices, malaxer légèrement
6. Trempez les dans la farines
7. Trempez les dans les céréales et la panure
8. Verser les morceaux par morceaux dans l'huile et laissez cuir 2 a 3 minutes
9. C'est prêt !

Zang : Tadaaaaa !  

Mais la viande humaine reste fade lorsqu'elle n'est pas accompagnée de sauce. C'est pourquoi, une fois la sauce prête, que vous avez laissez refroirir au préalable, vous pouvez la verser dans un bol et y tremper vos tenders. Le mélange des tenders aux graines, frits à l'huile d'olive, trempés dans une sauce de confit de pommes caramélisés, vous promet un repas incroyablement bon. La sauce ici était encore chaude, mais trop gourmand, le despote ne resista pas à croquer le premier morceau en y trempant ce dernier dans sa préparation.

Zang : Crunch crunch... Alors là... Wow, on est jamais mieux servis que par sois même, je vous le garanti ! Je vous fais des plats à emporter, il faut absolument, AB SO LU MENT que vous me goutiez cette merveille.  

Il passa le reste de sa journée à cuisiner, en chantonnant. Les parents furent raccompagnés à la sortie du chateau, indemnes, emportant avec eux, un petit plat chaud, dans lequel se trouvait le morceau de l'un de leurs enfants. Mais n'oubliez pas, bon appétit bien sur !



Palais d'Eleanor (Post lores) Mini_200814031548830003

Sujet: Re: Palais d'Eleanor (Post lores) Sam 30 Oct 2021 - 20:16
Fujin Zang
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Reagir à la suite















Les évènements récents avaient fait éclater de rire Zang, dernièrement. Il faut dire qu'entre le village rebelle de Zouhan qui explose et que Reisha n'est autre que celle qui a explosé. Un certains Tyr qui dirigerait désormais Shintan, quel bordel, je vous dis pas ! Il avait fait envoyer la tête de Jirô par un émissaire, direction les rebelles. Son grand regret ? Ne pas être présent à l'ouverture de la boite contenant la tête du frère de Jayna. Puis désormais, le roi des morts faisait ses premiers pas, les failles qui pètent et tout le tintouin. Il attendit bien sur que ses élus, dont Eleanor, sa toute nouvelle protégée, ne lui rende des nouvelles.

En attendant, il recut quelques informations d'ici et là, dont une lettre qui était adressés aux rois, pour les convier à un banquet. C'était un élu du nom de Gilgamesh, hautain et imbu, qui prétendait être le roi des héros.  M'enfin, le contenu fut très drole à lire et maintenant que toute cette histoire de failles était passé, il lu la lettre que sa petite vampire aux crocs pointus lui adressa.

Il était attablé, comme à son habitude, entrain de manger des plats tous plus délicieux les uns que les autres. Dans un craquement bruyant, qu'il fit en arrachant quelque chose ressemblant à un os de visage, laissant place à un léger soupir de douleur d'une personne visiblement "vivante" à cette table et qui lui servait d'apéritif.

Zang : Allez, lisons ça et hoooo, quel el artefact ! Héhé, voyons le contenu.

Il posa l'artefact devant lui et commença à lire les premières lignes. Il avait un grand sourire tout du long et n'hésitait pas à s'esclaffer ou parler tout seul, enfin, avec son repas, en lui demandant son avis.

Zang : Ha ! Regardez, au moins elle est utile et elle me ramène l'artefact ! C'est chou non ? Moi je trouve ça chou, trop honnête, mais chou ! Allez savoir si c'est un vrai, ça serait fort peu probable vu qu'elle l'a eu de la voix des morts, mais héhé, j'adore l'intention ! Lisons la suite.

Repas : Aadhgg.. Tu... EEz mo.... Moiii.....

Zang : Mais silence enfin, que je me concentre ! héhéhé

Zang savait que ses élus étaient des pourritures, des fripouilles, des ripoux et des sournois. Quelqu'un venant lui obéir gracieusement et lui ramener un objet légendaire aussi simplement ? C'était pas digne de la lignée Minshujin ! Le serpent frappait toujours sans qu'on s'y attende et ce n'était pas à lui qu'on la ferait. Mais néanmoins, le geste etait louable et il s'en amusait. Ce n'était pas grave que ce soit le véritable artefact ou non. Ce qui était important, était de voir ce que ses élus étaient prêts à faire.

Il lu la suite en se lêchant la babine supérieure. Avant d'arracher un ongle à l'apéritif et commencer à gratter dans l'intérieur du doigt comme pour aller chercher du jus et trancha le doigt pour le croquer lentement, telle une friandise. Il lu donc le point "Tenkasuru"  et vit qu'elle parlait du dit Gilgamesh, le roi des héros qui conviait les autres nobles et rois à sa table, comme s'il était un monarque.

Eleanor s'en plaignait, tiens donc ! Mais s'il se fichait bien des 3/4 de la lettre, qui le faisait soit rire, soit ne le touchait pas le moins du monde, Zang tapa du poing sur la table en écrasant la tête de son apéritif, sèchement, au moment de voir le nom de Reisha. Son sourcil s'arqua, tiqua, se baissa et il éclata de rire soudainement.

Zang : Bwhahaha ! HAHAHAHA ! Aaaah... Quel blagueur ce roi des morts et cette maudite voix. Tant pis, vous voulez jouez à ce petit jeu et ne pas me laisser poser mes pièces tranquillement, ainsi soit t'il ! Je me chargerais moi même une bonne fois pour toute ce Reisha. Au final, ce n'est pas plus mal ainsi, je goûterais à nouveau à son sang de métal.. Héhéhé bien bien, les choses avancent à ce que je vois.

Puis il remarqua qu'il venait de tuer son apéritif, bien tristement, son plat ne parlait plus et un plat qui ne parle pas est un peu plus fade. Il soupira légèrement, se leva et essuya sa bouche d'un revers de manche.

Zang : Reisha reisha reisha... Bien, notre second round attendra encore un peu.    



Sujet: Re: Palais d'Eleanor (Post lores) Lun 27 Déc 2021 - 13:01
Fujin Zang
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Nouvelle Année, mais souvenirs du passé.
















La lune, les chants, les traditions... Oui, cette nouvelle année allait commencer, l'heure du nouveau cycle et des sacrifices était venue, de nouveau. Mais Zang était cette fois ci, d'humeur nostalgique. Le tyran et despote de la grande nation de Shûza, se leva de sa table et se dirigea vers sa fenêtre. Il compta alors le nombre de chaumières allumées. Se rendant compte que sa population ne faisait plus que baisser. Les gens avaient du mal a avoir des enfants, la peur et le stress les mettaient dans le mal et plus aucun n'ignoraient à quoi s'attendre. Ils savaient tous qu'ils n'avaient aucun avenir au sein de cette nation et qu'au mieux, certains seraient soldats... Au pire, le diner de ce soir.

Il tourna dans son grand salon, ne touchant même plus à la nourriture. Il fixa les tableaux plein de gras, de sa personne, de sa personne et encore de sa personne. Passant la main huileuse que les dorures et les bordures en bois taillé des cadres, puis aux pierres des murs. Marchant sur quelques ossements qui s'éparpillaient ici et là, il sorti finalement de la salle du banquet. Les gardes étaient même étonnés.

Il faut dire que Zang habituait souvent à rester ici et laisser faire les autres tâches aux gardes et aux rares bonnes qui servaient le chateau. Le voir sortir, signifiait peu de bonnes choses en vérité. Les soldats, hors zombis, se faisaient presque littéralement dessus en le voyant. Zang était synonyme de terreur, même pour les siens. Puis, lorsque vous êtes habitués à un poste ou vous ne voyez que peu, voir pas du tout votre dirigeant et qu'à un moment donné, il se retrouve face à vous, la sueur vous envahie immédiatement. Mais non, ce soir là, le despote passa devant les troupes et les ignora.

Se retrouvant alors devant un escalier menant aux souterrains, qu'il emprunta jusqu'à une porte fermée à clée. Il l'avait sur un trousseau, il ouvrit, clic... Clac. Faisant face à de nouveau escaliers s'enfonçant un peu plus dans les ténèbres. Le vent passant dans les couloirs formant un bruit de cri terrifiant, jusqu'à une autre porte, celle ci fermé aussi à double tour. Il l'ouvrit elle aussi, puis continua. Arrivant dans un long couloir, scellé par une lourde paroi en pierre, ainsi qu'un sceau de serpent magique et deux gardes zombis... Rien que ça. Zang parvint à défaire les sécurités sans problème, puisque c'étaient les siennes après tout ! Entrant dans une toute nouvelle pièce du château, une sorte de cave, bien entretenue comparé au reste... Zang s'essuya même les pieds avant d'entrer.

Dans cette pièce, trônait une cheminée éteinte, ne menant à rien, inutilisable, mais dont le feu qui y était, magique, ne formait ni flamme, ni fumée, mais seulement une lumière agréable et légèrement teinté d'un vert emeraude. Deux fauteuils placés en face, séparé par une petite table, sur laquelle était disposée une flûte abimée par les années et un verre vide. Zang s'approcha, prit sa place du coté du fauteuil ou était le verre vide. S'affalant presque sur le fauteuil, comme un être fatigué, il soupira légèrement ;

Zang : Aaaah... Cela fait longtemps que je n'étais pas revenu ici, n'est ce pas... Xun.

* * *
*******

Année 266, cité lumineuse de Xalao, Saint Sénat Triumphvirat. C'est le jour de l'assemblée des hauts tradistoriens et hautes tradistorienne. Conviés au sénat pour le vote du conseiller des mémoires, le plus haut des ordres du saint sénat, juste en dessous du séraphique virat. Le jeune Zang, récemment promu tradistorien, fait ses classes avec Xun, son plus fidèle ami. Xun est un bel homme, charismatique et en bonne voie de devenir le prochain conseiller des mémoires, voir, plus tard, le prochain séraphique virat. La cité de Xalao ne fait aucun cadeaux, ni aux plus bas de l'echelle, ni aux meilleurs et plus ambitieux. Le triumphvirat ne s'est pas formé en un seul jour, c'est le fruit de conquêtes sanglantes et de batailles s'étalant sur plus de trois siècles entiers.

Mais il y'a bien quelque chose qui fait de ce monde, un monde à part. Le cannibalisme est courant, ce n'est pas un dogme ou une tradition, mais plutôt une chose commune. Bien qu'ancrée désormais dans les coutumes, les habitants du monde d'Érysichthon sont obligés de manger en abondance de la viande. Ce cycle infernal à engendré sur des millions d'années, une perte conséquente du bétail normal. Lorsqu'il a fallut se tourner vers le reste de la viande, il ne resta plus que les gens eux même. La suite était simple et le goût de la viande humaine apporta bien plus de satisfaction, d'intérêt, sur tous les points.

Il faut aussi parler de la mentalité et des codes sociaux de ce monde. Ici, même si les sentiments existent, que chacun peut rire et pleurer, nul n'éprouve de réels sentiments à l'égard d'une vie, ou devrais je dire, nul n'est réellement touché par la mort d'un proches ou de son prochain, s'il est dégusté ou tué. Aucune vie n'est plus importante qu'une autre. Le respect, l'ordre et l'importance est séparée par la hierarchie du triumphvirat. Il n'était pas rare de voir des gens torturés dans les rues de Xalao, sous les rires d'autres habitants. La cruauté était telle, qu'elle n'était cachée de personne. Pourtant, chaque monde et chaque être possède ses faiblesses et Erysichthon n'était pas épargné par ses moutons noirs...

Sur une planète contenant environs 750 millions d'individus, environ 0.3% d'entres eux, soit à peu près 225 000 personnes souffraient (oui, souffraient) de Normosauphragie, un terme propre à cet univers, qui signifiait que ces rares personnes, ne mangeaient pas de viande, pire encore, souffraient d'empathie et peinaient parfois à voir les atrocités normales de ce monde Reconnaissables parce qu'ils n'ont pas les pupilles orangés, signe distinctif de tout un peuple. Certains s'adaptaient, mais pour beaucoup, vivre était un calvaire. Les rêves devenaient des cauchemars, les nuits étaient courtes, les traumatismes grandissaient et bien souvent, ils finissaient en plat de choix pour leurs peuple. Telle était la dur loi d'Erysichthon.

Mais revenons en à Zang et Xun. Si le second était présenté comme charismatique, appelant à lui toutes les prochaines heures de gloire, il était aussi un modèle et mentor pour le jeune Zang, qui était quand à lui, plus reservé, timide et en retrait. Souffrant de normosauphragie, ce dernier possédait la caractéristique hétérochrome que l'ont reconnaissait chez ces individus rares et souvent esseulés.

Zang (17 ans)
Palais d'Eleanor (Post lores) Qbhb

Des yeux d'une couleur différentes, de longs cheveux blancs, une peau d'albâtre et un cercle de fleur sur la tête, voila ce qui caractérise le très reservé Zang. Derrière des yeux à l'allure fatiguée et un sourire pincé, légèrement forcé, c'est un excellent politicien et stratège. Doué d'une intelligence naturelle, il cache un talent que seul Xun aurait pu déceler. Si le jeune homme aux cheveux blancs à pu se faire une place au sein de la grande capitale de Xalao, ce n'est pas pour rien. Même prit sous l'aile d'un tel mentor, il a dû aussi faire ses preuves. Mais d'autres épreuves l'attendent aujourd'hui et ça, il ne le sait pas encore.

De l'autre coté, nous avons Xun. Présenté comme un bel homme, doué lui aussi d'une intelligence hors norme, il possède également l'aisance et la forme. Ses yeux oranges vifs témoigne du nombre de personnes qu'il a empilé sur son chemin, jusqu'à la gloire. Aujourd'hui il vise des sommets et s'entoure, s'épaule de personnes comme ce Zang. Ces deux là, ont souvent étés jugés du regard des autres, car il n'est pas naturel de trainer avec un paria, une aberration de la société, quelqu'un qui ne fait pas comme tout le monde. Mais c'est de cette différence, que Xun à tirer sa force et à tiré Zang vers les sommets ou il se dirige. Ses cheveux bouclés et sa mâchoire carré en fond plus qu'un modèle pour les nombreuses statues de Xalao, mais un apolon que tout le monde voit déjà comme conseiller des mémoires et futur chef de nation.

Xun (24 ans)
Palais d'Eleanor (Post lores) 2zmd



Xun : J'ai 'ai l'impression que nous attendions cet instant, toute notre vie. Es-tu prêt à entrer dans l'histoire d'Erysichthon Zang ? Ne faisons point attendre ces vieillards et ces roublards. Le véritable jeu du pouvoir politique commence ici.

Zang : J'ai préparé un discours, j'ai envisagé quelques hum... Quelques modifications pour le tiens. Tu veux le lire avant peut être ?

Xun : Ah oui ? Comme si j'avais le temps de le lire maintenant. Nous sommes à quelques secondes d'ouvrir les portes... Tant pis, donne moi le discours, assied toi et contemple notre gloire élogieuse. Nos noms seront scandés dans tout Xalao et le monde entier.

Et les gardes ouvrent de grands battants, de portes aussi immenses qu'elles accueilleraient des géants. Si lourdes qu'il faut une dizaine d'hommes de chaque coté pour les pousser et une dizaine d'autre de l'autre coté pour les tirer. La démesure du triumphvirat, pour épater. La splendeur dans la grandeur. Mais, le véritable pouvoir se noue autour de la verve et de l'intellect. Savoir comment savoir, comment pensent les gens, comment sera fait demain, comment diriger et être digne de ce nom. Deux hommes entres et une centaine les regardes. C'est le jour ou les tradistoriens font leurs preuves. Xun et Zang sont suivis de près par tant d'autres comme eux. Tous savent que derrière les minois confiant, se cache une lame dans la poche.

Un meurtre ici, ne ferait l'objet d'aucune émotion, mais il y'a tout de même un ordre à respecter, les autorités interviendraient. Le respect peut être de mise, même dans une société ou l'un et l'autre se mange. Ici, les couteaux et les fourchettes laisserons la place au débat, au discours, à la maitrise, aux sujets... Zang part s'asseoir, comme bon nombre des aspirants tradistoriens. Le premier à passer est Xun. Mais avant d'y aller, ce dernier se rapprocha du jeune homme aux cheveux blancs et lui donne une petite flûte.

Zang : Qu'est ce que ? Pourquoi tu me donne ta flûte ? Ce n'est pas sensé être ton porte bonheur ?

Xun : Pas vraiment. Nous nous sommes connus lorsque je jouais dans les bas fonds de la ville pour les pauvres, afin de les attirer et les manger. Lorsque je t'ai vu, j'ai su ce que tu pouvais devenir. Cette flûte est l'objet qui nous lie, qui nous rappelle notre rencontre. Aujourd'hui, je pars vers d'autres horizons, je m'élève au sommet. Rassure toi, je ne t'oublierais pas lorsque je serais en haut. Alors garde là, pour ce jour là.

Un homme aux ambitions et à la confiance démesuré. Malin comme un singe, beau comme un dieu, intelligent comme le politique qu'il était... L'avenir semblait radieux pour Xun. Tandis qu'il s'éloignait vers le pupitre d'ou l'assemblée entière l'écouterait. Zang l'interpela une dernière fois.

Zang : Xun... Attends !

Xun : Qui y'a t'il ?

Mais après un bref soupir, une réflexion sinueuse et silencieuse en lui...

Zang : Non... Rien. Bon discours et épate les tous... Jusqu'au dernier.

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partie 1/2





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Sujet: Re: Palais d'Eleanor (Post lores) Lun 27 Déc 2021 - 16:04
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Nouvelle Année, mais souvenirs du passé.














Palais d'Eleanor (Post lores) Pa3h



Palais d'Eleanor (Post lores) QbhbPalais d'Eleanor (Post lores) 2zmd

Dans une immense salle, ou l'acoustique ne fait aucun doute, des hommes et des femmes de la nation sont assis. Ils sont consuls et aspirant, tradistorien et ambitieux, politicien et conseillers, chefs et gardiens... Tous ici, mènent ou ont menés un jeu, les amenant à s'asseoir sur ces bancs de marbre blancs, tapissés de soie, de lin, de cachemire et de coussins luxueux. Le centre de la pièce laisse place à un pupitre ou la voie porte par l'écho et par le ton qu'on y met. Il faut être sûr de soi, lorsqu'on se présente devant des personnes capables de vous tuer du regard, puis plus tard, d'appliquer ce regard en sentence. Il n'y a pas de place à l'echec, à la faiblesse, à l'hésitation ou la souplesse. Le peuple d'Érysichthon ne doit son statut qu'à sa tendance à s'adapter et réfléchir à toute conclusion.

Heureusement, ce n'est pas un inconscient qui prend la parole ce jour là. Xun était un noble à la base, de bonne famille, il erra longtemps dans les faubourgs et les bas fonds des cités autour de Xalao et d'autres villes. Artiste avant tout, il jouait de la flûte dans les auberges et les bars. Mais voyant qu'il attirait le monde, comme la voix des sirènes les marins, il décida de tuer par son art et d'en partager sa constance. Combien de barbaques et de carcasse avait t'il finit, en lattant d'un cou dans la nuque, quelques personne de son public ? Arès tout, après une musique enchanté, rien de telle qu'une mort nourrissante ! Il n'était pas craint pour cela et ses victimes se défendait. Mais Xun était également fort. Cette force et cet acharnement, lui permit de rester en vie et s'élever toujours plus, même si cela n'était qu'un hobbie.

C'est ce qui lui permit de rencontrer Zang. Un paria, un normalien, une victime de plus de la normosauphragie. Pas de viande, pas de force, des sentiments et des faiblesses. Comment ce type aurait pu aider Xun ? En temps normal, il aurait été un diner parfait. C'est presque ce que Xun décida de faire ce jour là, ou il croisa les yeux de ce jeune homme aux cheveux blancs... Puis, ce dernier changea d'avis en le voyant prendre un morceau de viande humaine et le porter à sa bouche.

S'adapter, avec intelligence. Montrer que l'ont n'était pas ce que l'ont croit. Transformer sa faiblesse en force. Ce potentiel ne pouvait sans doute pas s'arrêter là. Un joyaux se taille pour mieux briller. Comprenant que Zang en avait dans le ventre, Xun le prit sous son aile, non, il ne serait pas a diner et la peur n'envahissait pas ce jeune garçon timide, taciturne et reservé. Mais en plus de cela, il démontra par des discours écrit, des sujets divers, des conclusions à des problèmes de guerre, son talent inné pour la politique. Le mielleux des paroles, l'hypocrisie des promesses, tout en donnant des solutions à des interrogations, dont on avait pas forcément le besoin vital tout de suite, mais dont la question se poserait plus tard. Se rendre utile, à n'importe quel prix. Rester en vie, dans un monde ou les parias ne vivaient pas plus de vingt années en général ! Dans un monde ou les cannibales eux même, ne connaissaient que rarement, voir jamais de retraite. C'était une suite fatale, indiscutable et accepté, sans ressentiment.

La morale était différente... Car ce monde s'était construit sur d'autres codes sociaux. Zang connaissait sa place, sa fragilité, mais ne se laisserait pas manger. C'est cette ambition, qui lui valut les louanges et la protection de Xun. Mais Xun aussi était intelligent et savait que s'imposer avec un être différent le démarquerait de ses congénères. Gravir encore et toujours les échelons de la saint assemblée du triumphvirat. Devenir une légende de Xalao, un nom connu dans le monde entier et peut être un jour, pourquoi pas... Seraphique virat. Telle était l'inébranlable ambition de Xun et cela transpirait également sur son comparse aux cheveux nacrés. Suivre un tel homme, c'était rester en vie, s'adapter, survivre, se transcender, montrer ce qu'on était, à ceux qui ne l'étaient pas.

Vivre et vaincre.

Aujourd'hui, Xun prenait la parole, avec l'un des nombreux discours qu'avait pu lui écrire Zang. Car ce jeune homme était doué pour transcrire mots, émotions, envie et désirs de ceux qui les attendaient. Quand à celui qui prenait la parole dés à présent, il était doué pour les faire entendre à qui de droit ! Ainsi, sa voix grave, stable, assurée, commença à faire écho dans l'assemblée, sans une seule hésitation, tandis que tous écoutaient avec attention, concentration, guettant la moindre faille et faiblesse. Cela signerait son arrêt de mort.

Xun : Dignes dignitaire du saint sénat, je me pose devant vous aujourd'hui, comme l'aspirant au conseil des mémoires. Vous avez pu voir et entendre au cours du dernier quinquat mes propositions, mes actions, mes conseils. Nul ne peut désormais en ignorer les conséquences sur notre nation et notre culture. La bataille de saint gris, la bataille des kûrr et la guerre de tyrania ont étés gagnés grâce aux projets portés par notre pôle, sous ma direction, mon influence, ma poigne. Notre assurance et notre volonté ont soumis les parias, les traitres et ceux qui tournaient le dos à Xalao. Jamais le sénat n'a vu telles victoires en au moins un trinquat ! J'ose l'affirmer, qui ici peut en témoigner ? Qui ici, peut venir devant moi, pour me dire que je me suis trompé, que ces batailles étaient des erreurs, qu'ils ont fait tout simplement mieux ? Personne et si vous êtes l'un d'eux... Venez, que je puisse m'en assurer. Venez, que tous puissent alors écouter si vos exploits sont à la hauteur de votre réputation. Je ne vois ici que des aspirants, qui n'ont pas fait le dixième de notre pôle, qui n'ont pas le dixième de mon expérience. Hors vous le savez tous autant que moi, le gardien des mémoires est celui qui préserve la volonté, l'histoire de notre peuple. Celui qui conseillera le Seraphique virat.

Xun prit alors une très courte pause dans son discours. Il ne fallait pas trop laisser d'espace et de temps à la reflexion et l'hesitation, car sinon, ce serait un signe de faiblesse. Portant à nouveau ses yeux sur le discours, il continu avec confiance et consistance, sans forcément prêter attention aux prochains mots du discours écrit par Zang.

Xun : Rien n'aurait été possible sans Zang...

Puis tilta. Le discours avait changé, ce n'était pas les mots prévus et répétés la veille. Certes, Zang avait dit avoir changé légèrement le discours, mais c'était sensé être sur lui, sur Xun, pas sur Zang. L'oeil de l'aspirant tiqua légèrement, mais il savait qu'une nouvelle pause serait fatale. Pour se reprendre, il tapa du poing sur la table, comme pour assurer son mot et plia la feuille, sans lire d'avantage. Se sachant piegé, la suite n'aurait été que pour complimenter son comparse et le rivaliser...

Xun : Oui... vous connaissez tous mon compagnon de route et paria, Zang. Un paria que j'ai plié à ma volonté, que j'ai complètement transformé. Voyez par vous même, assis parmi vous, lui qui ne mange pas de viande, lui qui ne mange pas ses prochains, lui qui ressent, ce que nous ne ressentons pas. Pourtant, je l'ai plié, comme j'ai plié ceux des batailles dont je vous parlais avant. C'est là, que le conseiller des mémoires fait la différence, c'est d'un tel homme dont vous avez tous besoin ici, et VOUS LE SAVEZ ! Ne jouez pas à ce jeu, ne faites pas ceux qui l'ignorent ! Nous visons tous le sommet et le Seraphique virat, mais combien en sont vraiment capables ? Notre unité, notre nation, nos traditions et notre histoire s'est adapté et a survécu car nous avons toujours fait ce qu'il y'avait de mieux à faire. Elire les meilleurs pour guider les moins bons.  

Zang : ......

Pointant du doigt toute l'assemblée en disant cela. Etait ce un risque prit ? Allait t'il en payer le prix ? Zang regarda autour de lui, les visages fermés et durs du sénat. Mais au final, convaincu, ceux ci tapèrent des pieds en concert, pour accepter le discours qui venait d'être fait. Un discours qui continua légèrement sur des banalités, avant de se conclure sur une standing ovation. Difficile de voir d'autres aspirants faire mieux. Mais Xun revint prendre sa place pour écouter les autres, comme le voulait le jeu politique. Il s'assit en silence à coté de Zang, avant de lui chuchoter pendant que d'autres aspirants tradistorien discouraient.

Xun : Tu as changé mon discours pour me pieger et te mettre en avant ? C'est bien joué. Je ne pensais pas que tu te lancerais dans ce jeu là, surtout avec moi... Ou devrais je dire, contre moi. Mais tu as encore bien des progrès à faire. Tu penses être mon égal ? N'oublie pas que tu n'es qu'un paria que j'ai ramassé et protégé durant des années. Tu aurais pu servir de repas ce jour là, tu pourrais encore me servir de repas ce soir.

Zang : Dommage de ne pas avoir lu la suite. J'avais mi tout mon coeur à l'écrire.

Xun : Le sénat va prendre sa décision à la fin des discours. Je n'ai aucun doute sur mon election. Les autres ne sont que des clowns, sans la moindre expérience et qui n'ont pas fait le quart des batailles que j'ai accomplis. Même toi, tu as plus de talent et d'experience qu'eux. Mais ils n'élirons jamais un paria, tu as besoin de moi.

Zang : Oh ? C'est vrai, tu m'as sauvé ce soir là. Qu'aurais-je pu faire sans toi. Moi, le pauvre paria abandonné. Allons, Xun... Tout va bien se passer.

Quelques applaudissements firent écho dans la bataille, mais soudainement, Zang mit un pied au sol, se levant de son banc de marbre sous le regard circonspect de Xun. Que faisait le timide garçon ? Pourquoi se dirigeait t'il vers le pupitre ainsi ? Il n'avait pas écrit de discours, il n'était même pas aspirant pour ce poste. Son rôle était déjà grand, il ne savait pas s'en contenter ? Que cherchait t'il à accomplir et à prouver.

Zang : Regarde moi, Xun. Regarde moi aller sur le sommet ou tu n'as pu aller.

Xun : Que fais tu misérable... Reviens ici !

Evidemment qu'un tel paria ne serait pas accueillir chaleureusement, ni même fortement acclamé. Malgré sa réputation, malgré la protection de Xun envers lui et le simili discours sur sa personne tout à l'heure. De plus, il prenait la place d'un autre, ce qui ne lui plu pas. Arrivé sur le pupitre, le jeune Zang fit donc face à l'aspirant qui devait discourir.

Aspirant : Hors de mon chemin paria, ou je vais te dévorer devant l'assemblée, c'est compris ?

Zang : Vous tous, vous cherchez un chef n'est ce pas ? Mais qu'est ce qu'un chef, lorsque ce dit chef ne connait rien à son monde, ne sait pas différencier le vrai du faux, le bon du mauvais. J'ai ce que vous n'avez pas, ce que vous avez tous oubliés.....

Agrippé par l'aspirant. Zang se défendit en glissant ses pouces dans les yeux du type, et puis....

Palais d'Eleanor (Post lores) 6t5rPalais d'Eleanor (Post lores) Kaul

Zang : Vous pensiez que j'étais différent, je l'étais, mais pas comme vous le pensiez. Je n'ai jamais été atteint de normausophragie, je n'ai jamais été faible, je n'ai jamais été comme vous, coincés par vos codes et votre morale limité. Ces précédentes batailles livrées par Xun, ce sont MES plans de batailles, c'est mes informations, mes descriptions, mon intelligence et ma force qui ont données ces résultats. Ha ha ha... Pauvre sénat. Vous avez oubliés vos ancêtres les Lestrygons de la grande nation de Tantale ! Nous étions si peu, nous nous sommes tous mangés, jusqu'à ce qu'il n'en reste qu'un.

Xun : Mensonge... Tu ne peux pas en être un. Impossible... Les lestrygons ont disparus depuis des millénaires, Tantale s'est effondré dans l'eruption du Mont Karsa. Tu cachais ton jeu, je veux bien le croire, mais pas au point de t'inventer une race ancestrale disparue, pour te donner un crédit que tu n'auras jamais... Paria. Répondit colériquement Xun en se levant.

Zang le regarda. Son visage avait changé, la timidité faisant place à une forme de diablerie dans le regard.

Zang : Tu m'as rappelé les miens Xun. Du bassin de Volen à Zunmidor, de toutes les plaines ensanglantés de Zûl et d'Iskra à Kandar et mesynto. Les souvenirs d'un milliers d'années sont gravés dans le sang que j'ai bû de mes ancêtres. Tantale ne s'est pas effondré avec Karsa, nous nous sommes détruit bien avant cela. Mais c'est parce que nous étions trop instables, nous étions maudits par la Deesse. Notre faim incommensurable n'a plus aucune limite, nous étions destinés à devenir le fléau de ce monde. Je vous ai tous sauvé en les tuant ce jour là. Ceux qui restaient vous aurais massacrés. Si vous êtes les cannibales, nous étions ceux qui mangeaient les cannibales. Xalao me revient de droit, je suis de la ligné séraphique Et c'est indiscutable.

L'assemblée commençait à bien suer. Un Lestrygon de Tantale, ici, parmi eux ? Une race ayant disparue depuis des milliers d'années, en raison de leur malédiction, leurs violence, leur faim instoppable et leurs capacité à devenir de plus en plus forts à mesure qu'ils se nourrissaient. Ils étaient eux même les croque mitaine des légendes les plus dures à lire de tout Erysichthon. Si bien que quelques membres commençèrent déjà à plier bagages et se tirer de là, vite fait. D'autres n'y croyaient pas, se levaient, s'offusquaient, gueulaient. Xun se leva de son banc et s'approcha de Zang, pour lui faire face.

Zang : Ce jour là, tu as dis avoir senti quelque chose en moi. Un potentiel. Admet le Xun... Je me suis joué de toi, tu n'as rien vu, je suis plus malin et plus doué... Admet le... Je mérite d'être conseiller des mémoires... Et séraphique virat.

Xun : Zang le timide... Zang le reservé. Je ne t'ai vu manger qu'une fois de la viande humaine. Tu grimaçais, ton ventre gargouillait, tu t'adaptais. Un lestrygon, comme décrit dans les légendes, aurait mis les villes à feu et à sang, sa faim incontrolable lui ferait faire un massacre ici même. Prouve tes dires... Paria.  

Redescendant du pupitre, il posa ses pieds dans la flaque de sang et de chair du cadavre de l'aspirant au sol, puis fit face à Xun. Zang était légèrement plus petit que son mentor et protecteur, mais son aura avait tant changée, qu'il était l'égal, non... Il paraissait déjà bien supérieur à ce dernier.

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Zang : Lorsque tu m'as trouvé, errant et affamé, je ne jouais pas un jeu. Je t'ai admiré pour avoir joué de cette flute ensorcelante et pour avoir mangé ces gens, nourrissant les autres, quelle générosité. Ta verve, ton aura, elle me rappelait les gens de Tantale. Je suis resté longtemps enfermé, je ne me souviens pas comment j'ai atterrit dans les rues de Xalao ce jour là... Un coup du sort je suppose ha ha. Je voulais te dévorer et t'étriper pour me faire le plus succulent des repas, mais je me suis retenu. J'ai voulu voir ce que donnait ce nouveau monde. Mes descendants étaient plus faible, les parias existaient, quelle ignominie. Mais j'ai tenu bon, je voulais arriver à ce moment précis, voir ton rêve atteint... Enfin presque, puisque je vais l'être a ta place. Mais rassure toi Xun. Un peu de toi, réussira en moi ! Tu es le seul....

Dit t'il, en faisant une pause.

Zang : Le seul que j'ai considéré comme un ami.

Ce jour là, plus de cent personnes périrent dans le sénat. Zang instoppable dans sa furie, tua et dévora un nombre de consuls, d'aspirants, de chefs et de soldats, qu'il n'aurait pas été possible d'imaginer. Certes, le peuple d'Erysichthon était habitué à la torture, la mort et les massacres. Mais d'une telle ampleur, en pleine capitale, sous l'égide de l'ordre et de la hierarchie. Cela dépassa toutes les bornes connues et ce fut par ailleurs un coup d'état d'un homme seul contre un empire entier. Seul survivant du carnage, Xun. Zang l'épargna, il en témoigna souvent, une fois enfermé derrière des barreaux dans la prison de Xalao.

Il disait : "Il s'est mis au dessus de moi, en tenant cinq têtes dans la main droite. Souriant à pleine dents, celles ci se sont mises à pousser en travers de ses lèvres, à l'image des démons des légendes, son visage changea, pour laisser place à celui d'un homme et non plus d'un adolescent. J'eu compris mon erreur en cet instant. J'avais pensé utiliser un paria inoffensif, mais j'étais la brebis face au loup. Il s'est mit à rire, s'est rapproché de moi et m'a dit... L'avenir nous appartient à jamais".

Zang prit sa flûte et dirigea d'une main ferme Xalao, remportant bataille sur bataille dans des rixes des plus sanglantes. Les montagnes de cadavres lui étaient rapportés, ainsi que les survivants blessés dans la plus grande majorité des cas. Il les dévorait tous, jusqu'au dernier. La population mondiale baissa drastiquement de 750 millions à 100 millions en seulement dix ans. Des terres de plus en plus abandonnées et stériles voyaient le jour. Les lestrygons étaient bien un fléau maudit, d'une deesses vengeresse... Ce fléau se portait à présent sur tout Erysichthon !

Alors qu'il menait toujours son pays dans la terreur, visitant chaque jour son confrère Xun derrière les barreaux, une lueur intense envahie la ville et.... Le monde de Xalao, laissa place au monde de Kosaten....

* * *
*******

Zang : Aaaah... Ce bon vieux monde me manque par moment. Xalao doit s'être rempli d'habitants depuis mon départ. Mon retour devrait t'il être triomphal ? Kosaten n'est pas si mal, Minshu était un peu mon Xalao de fortune... Shuzâ Minshu Xalao, au fond peu importe. Tant que tu es là, pas vrai ... Xun ? Dit t'il alors, en se tournant légèrement vers le coté de la flûte, un peu plus loin, trônait une cellule.

Xun : Mwerf miam gnap niam  

C'était Xun, du moins, on l'imaginait. Se goinfrant de morceaux d'enfants et de chair humaine à foison, balancé par un trou en direct des cuisines tout en haut... La cellule jonchée d'os et de tenue en lambeaux. Il ne semblait plus être le grand et bel homme politique, mais une sorte de bête docile, obeissant à son maitre. Combien d'années étaient passées ? Si Zang survivait à des millénaires, ce n'était normalement pas son cas. Mais Xun semblait lié à Zang et Zang à Xun. Peut être que ce lien fut créé au moment ou Zang passa en Kosaten, ce jour ou il fut à la prison de Xalao, voyant son ami, le touchant, lui parlant... Qui sait. En attendant, le tyran ajouta ;  

Zang : Je te l'ai dit, tu seras avec moi, au sommet du monde. Nous sommes liés tu l'as dit toi même. On se lie à vie à un Lestrygon. Je reviendrais te voir très vite mon ami. Sois sage.  

Cent personnes à sacrifier pour le nouveau cycle... Cent personnes, comme ceux de l'assemblée dévorées à Xalao. Au moins, Zang avait créé une tradition ici, née de la bas.




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Sujet: Re: Palais d'Eleanor (Post lores) Sam 5 Fév 2022 - 18:53
Fujin Zang
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Lord Vakeran
















Tenkasuru avait bougé ses premiers pions, enfin. Cet empire se décidait donc à passer à l'attaque et c'était probablement en raison du petit banquet festif de quelques élus. Décidément, certains ne tenaient pas en place. Le moment était crucial, car Zang savait qu'il tenait l'un des plus grand territoire de Kosaten, mais aussi, l'un de ceux le plus mal placé. Coincé entre trois superpuissances, ce n'était pas forcément l'idéal. Néanmoins il avait fait le nécessaire en cas d'attaque. Bien sur, outre sa grande puissance, son excès de confiance démesuré, il possédait des soldats zombies et mine de rien, une bonne armées de 1200 soldats dans toutes la capitale et légèrement autour d'elle. Des soldats aux milices, en passant par les volontaires, enfin... Volontaires était un grand mot.

Oui, chaque habitants de la capitale pouvait être un soldat en soit, mais si on parlait de minimum d'experience, alors c'était 1200 à la capitale et ses alentours, mais peut être 500 de plus éparpillés sur tout le territoires, pour prélever les taxes, instaurer la peur, ce genre de chose... Mais ceux là ne rentreraient jamais à temps et puis, mieux valait les laisser ou ils étaient, pour continuer de contrôler les villes et villages du territoire. Les rebelles pourraient essayer d'en profiter sinon, sans compter les autres armées de Reifuu ou Kaên. Zang ne craignait personne, mais il était évident qu'il ne se laisserait pas marcher dessus pour autant.

Le diner était servit, il fit craquer un os, puis deux, avec quelques gémissement de douleur féminin. Une petite famille réunie devant lui, ligoté, des doigts, des yeux, des bras en moins... Des restes de la nouvelle année ? Non, des mets savoureux livrés ce matin même. Zang suça le moignon de la femme, en y mettant une sauce brunâtre, avant de se relever et aller vers la fenêtre grasse. Il passa sa main dessus pour essuyer et voir la ville dans son ensemble.

Zang : Alors Kerenys, on se décide enfin à venir me titiller, ahah. Ce pauvre fou croit être à la hauteur... Hmm, qu'il vienne avec ses soldats.

Mais le jour de l'invasion approchant à grand pas, il attendit et ne vit nullement les soldats et l'armée si "imposante" se rapprocher de ses murs noirs. Alors quoi ? Il avait abandonné ? Apparemment non, les "espions" de Zang, lui indiquèrent rapidement que Kerenys avait décidé de laisser son armée au loin. En fait, les espions observaient le campement de la garnison principal et reportèrent les mouvements. Ainsi, une partie de l'armée se disloqua pour aller coté Kaên. Comptait t'il envahir deux nations à la fois ? C'aurait été stupide, vraiment stupide et ma fois, indigne du leader de l'empire.

Zang comprit naturellement deux choses, deux plans possibles selon lui. Le premier, de prendre en étaux sa capitale avec une armée devant, une armée derrière. Bien que pour lui, cela ne fasse guère de différence et si tel avait été le cas, ils auraient probablement scindé en deux les effectifs, hors les troupes se dirigeant à Kaen étaient plus faible. Restait donc la seconde option...

Zang : Oh oh oh il vise donc le centre, Shutô tokaï. Hmm... GARDE !

Un garde poussa la porte, non sans inspirer profondément, en esperant ne pas être le prochain repas du dictateur. Mais à priori non, ce dernier avait une tâche à lui confier. Mea culpa, c'était "Une" garde, mais cela ne changeait rien, elle se tint droite et demanda quoi faire.

Garde : Oui monseigneur ?

Zang se retourna vers elle et la pointa du doigt.

Zang : C'est votre jour de chance jeune fille. Vous allez avoir l'honneur de réveiller Lord Vakeran.

Garde : Heu.. Lord .. Vakeran monseigneur ? Qui est ce ?

Zang : J'oublie parfois comme le temps et les années passent, comme chaque recrues ne sait pas forcément tout ce que j'accompli. C'est de ma faute très chère, voyons donc, je vais vous refaire un cours d'histoire. Il prit une pause et continua Vous connaissez déjà la source necromantique, mais lorsque j'ai repris ma chère capitale, il y'a plusieurs année, j'ai affronté le lord qui y siegeait. Lord Vakeran, c'est lui qui utilisait la source necromantique, c'était son pouvoir, ça na jamais été le mien. Un soldat invulnérable, c'était prodigieux, mais il n'a pas été à ma hauteur bien entendu. Il est depuis congelé en bas, dans les tréfonds des donjons. Je lui ai dis que je le réveillerais pour me servir un jour, ce jour est arrivé. Jeune fille, vous allez être la première personne qu'il voit depuis au moins ... Pfff j'ai arrêté de compter ! HAHAHAH   

Elle dégluti et décida donc d'aller chercher ce fameux... Lord Vakeran. Personne ou presque personne ne le connaissait au château de Zang et pour cause. Entre les gardes qui mourraient par sa main, durant ses caprices ou ses fringales matinale, ou tout simplement car ils étaient trop jeune pour ça, il faut bien dire que nul ne souhaitait vraiment tout savoir sur cet endroit. Mais elle sorti donc avec un certain soulagement de la salle du buffet, puis se dirigea dans les couloirs, croisant un autre garde au détour d'un passage.

Garde femme : Hey !

Garde homme : Oh putain... Fiu, me fait pas des frayeurs pareil !

Garde femme : Ah ! Merde, et toi crie pas comme un demeuré aussi... Bref, heu, dis moi tu peux me renseigner sur un truc, ça fait que quelques jours que je sers Seigneur Zang !

Garde homme : Ouais, toi aussi il a ta famille en otage ? Heu on devraient pas parler de ça ici, on devrait continuer nos ronde avant qu'un garde de la mort nous amène à Zang si tu vois c'que je veux dire. T'es nouvelles, donc tiens toi à carreau et peut être que tu serviras ton temps et qu'il t'enverra avec la milice, loin d'ici, crois moi, c'est le rêve de tous !

Garde femme : Non, non tu comprends rien. Il m'a donné un ordre direct. Je dois aller réveiller un lord. Lord Vakeran je crois, tu sais ou il est ? Apparemment c'est aux donjons, mais je suis perdue ici, c'est trop grand, je suis affecté qu'à cet étage normalement.

Garde homme :Vakeran ? Ca me dit rien, mais les donjons personne y va crois moi. C'est gardé par ces foutus zombies... Enfin écoute, je suppose que c'est ça ou tu crèves pas vrai ? Alors va au fond, tourne à droite, prend l'escalier et descend trois étages, puis gauche, tout au fond tu auras un mur en pierre, tourne à droite et tu trouveras la porte menant au donjon. Il fait froid la bas, couvre toi un peu.



La discussion lunaire s'arrêta là et le garde masculin reprit sa route, comme s'il était gêné, comme s'il savait qu'il lui avait indiqué une direction dont on ne revenait pas. Mais bon, avait t'elle le choix ? Comme il l'avait dit, c'était écouter l'ordre ou crever non ? Alors elle prit les directions indiquées, jusqu'au mur en pierre, sans croiser personne. Puis vint la porte d'ou il se dégageait un froid glacial, on se croirait presque à Reifuu. Elle tenta d'ouvrir, mais c'était fermé.

Garde femme : gNN... GNNN.... Merde merde merde GNNNNN Ouvre toi saleté d'p... !

La porte s'ouvrit, se tirant en arrière, laissant apparaitre la silhouette d'un garde de la mort.

Garde de la mort noire : Vous... Pas être... Ici.... Vous... Mourir... Tout de suite....

Garde femme : A.. Attendez ! Je suis là sous ordre de Zang, de notre seigneur... Il m'a demandé de réveiller Vake... Heu LORD Vakeran !

Le garde de la mort noire qui se préparait à la tuer sur le champ, s'arrêta alors. Il reposa son épée dans son fourreau et ouvrit en grand la porte en poussant un râle léger. La garde courageuse inspira à nouveau profondément et s'aventura donc dans les entrailles, prenant une torche à la main.

Garde de la mort noire : Passez.... Vite....

Garde femme : Brr... Il ... Il caille... Il fait super froid ici...

Garde de la mort noire : Tout... En bas.... Dernière.... Porte.

Elle continua son aventure seule, le garde de la mort noire restant à la porte, comme un gardien solitaire. Elle tenait la torche le plus près possible, car plus elle s'enfonçait dans le dédales sinueux de geôles de Zang, plus le froid devenait brûlant. Elle avait presque du mal à continuer sa route au bout d'un moment. Mais lorsqu'elle hésitait, la motivation revenait par sa vision d'elle en diner, servit avec des pommes autour de son corps et honnêtement, pas question de finir ainsi. Elle atteint la dernière porte, gardé aussi par un garde de la mort noire. Grelottante et tremblotante elle articula et bredouilla quelques mots ;

Garde femme : GLL GLL LorD GLL GLL VALK ... KERAN... GLL GLL BRR... Ordre... Zang !

Garde de la mort noire : hHHHh... Passez...

Le garde ouvrit la porte et s'écarta. La salle petite,laissait entrevoir un homme en armure congelé sous une tonne de gel. La torche alluma alors un systeme qui fit s'allumer une huile autour de la pièce, sur chaque recoin, en étage de bas en haut, jusqu'à tout illuminer à la manière d'un four. Le frigo s'était transformé et la glace fondait, tombant dans des sortes de grilles. Le corps une fois libéré à environs cinquante pour cent, commença à bouger.

Garde femme : Fff.. Fff il fait moins froid maintenant, mais... Que.. Qu'est ce que c'est... Un corps sous la glace, c'est ce type ce.. Vakeran ?

Le type en question avait enfin son corps libre, après environs une bonne grosse demi heure de fonte. Laissant donc voir sa pleine silhouette, celui qui était prit dans la glace depuis un bon moment déjà, se releva doucement, dans des cliquetis d'armure, possédant une épée qui ne voulait rien dire, sa taille était elle aussi impressionnante, il faisait trois mètres de haut. Ainsi, il toucha le plafond de la cellule ou il se trouvait et fixa silencieusement et froidement la petite garde courageuse qui venait de le libérer.

Palais d'Eleanor (Post lores) 3uuw

Garde femme : L.. Lo... Lor... Lord Vakeran ?? Je... C'est Seigneur Zang qui ... Qui  qui m'envoie et... Vous libérer..

Ce dernier avança vers elle en baissant la tête, par obligation vis à vis de sa taille. Elle recula bien sur, elle sentait émaner un certain danger, entourée par des gardes de la mort noire et maintenant ça, dans une geôle gelé dans les profondeurs de la capitale... Qui aurait été serein ? Personne et même elle, n'en menait pas large. Pourtant, Vakeran passa à coté d'elle, comme si elle n'était qu'un insecte sur sa route, sans y prêter attention, comme s'il savait quoi faire. Remontant lui même le donjon, Vakeran prit rapidement place aux cotés de Zang, il était son chef des armées zombie, sa carte maitresse. La garde elle, l'avait laissé faire, béate. Elle allait remonter elle aussi, mais avait du mal à comprendre ce qu'elle venait de faire.

C'était simple pourtant.

Elle venait de libérer un fléau.
Sujet: Re: Palais d'Eleanor (Post lores) Jeu 3 Mar 2022 - 20:46
Fujin Zang
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Unissons nous chers élus















Tenkasuru était aux portes de Shuzâ, non aux portes de Zang. Ces derniers avaient même tentés une excursion en terre Kaechijin. Pourquoi ça ? Pour le prendre en étaux ? Chercher le centre ? Attaquer une autre nation ou bien partir à la poursuite d'un ou plusieurs élus ? Qui pouvait dire ce qui se cachait dans l'esprit du jeune prodige, Kerenys la malice, ou la varice si vous ne l'aimiez pas. Zang était ni inquiet, ni détendu non plus. Il savait ce que projetait plus ou moins cette armée et ce n'était pas forcément un combat qu'il aurait voulu mener tout de suite. C'est aussi pour cela qu'il libéra Vakeran.

A ses cotés, le bras droit et maitre de la source nécromantique, allait permettre de gagner les futures batailles, à n'en pas douter. Pour l'heure, Zang le cruel, méditait sur un nouveau plan. Il sorti donc ses plus beaux papiers d'une armoire, puis commença à écrire une lettre destinée à toutes les nations et tous les élus !



Lettre de Zang a écrit:
Elus, Elues

Vous me connaissez sous le nom de Zang et je sais bien que certains ne m'aiment guère, oui, mais il faut parfois mettre de coté les petits a priori pour la lutte du lendemain. Aujourd'hui, Shuzâ est attaquée, ma belle nation est sous les griffes de l'empire, un empire qui en veut aux élus et aux natifs. Je suis moi même un élu et je ne peux que porter ce combat ardemment dans mon coeur et mon âme. Moi qui fut arraché peine à mon monde, perdant ma femme, mes enfants, ma famille et mes amis. Mes repères se sont retrouvés floués et, je le confesse, j'ai commis plus d'une erreur ici bas.

Cependant, j'ai toujours dirigé avec amour mon pays, un amour passionnel, qui fait que les gens de Zang restent à Zang. Cette volonté de vouloir m'obéir et me servir, démontre l'ardeur de leurs sentiments à mon égard. Mais ne faisons pas de politique ici, car l'heure est grave. La guerre est ici, à nos portes. Aujourd'hui Shuzâ et ma capitale, puis demain vous et vos villes, vous et vos amis, vous... Elus !

Vous êtes la cible d'un homme qui se croit surhomme et tout permis. Un homme qui a décidé que ce conflit appartenait à son empire et que, dans sa grande bonté, seuls les natifs devaient y survivre. Je ne laisserais pas tomber mon pays, mais j'ai désormais besoin de vous, de votre courage et votre force. Qu'importe la nation, qu'importe votre niveau, je souhaite que vous veniez ici, à Zang, afin de planifier le combat de demain. Lorsque Kerenys voudra m'attaquer, il ne s'attaquera pas à Zang ou Shuzâ, mais aux élus !

J'ai entendu parler d'une alliance, je la souhaite à mes cotés. Le demain, le souhaite aussi. Pour que les petites filles et les petits enfants de la capitale se réveillent sauvés et avec des étoiles pleins les yeux. Pensez à ce que vous apporterez au monde et pensez à ce que nous gagnerons à faire comprendre à l'empire, que les élus ensemble, sont la force inébranlable et la barrière infranchissable.

Vous avez aujourd'hui entre vos mains, le plus grand des pouvoirs. Il s'agit de l'espoir que vous détenez dans vos mains, celui de déployer une aide internationale dans un pays menacé, qui ne sera, ne nous mentons pas, la porte d'entrée des conflits du futur. Si nous ne stoppons pas Kerenys maintenant, vous et moi même, ne le stopperons plus jamais. Voila pourquoi, j'en appelle à la solidarité, celle à laquelle nous ne pensons pas, celle, à laquelle nous ne croyons pas.

Est ce si impossible de s'entendre, pour parvenir à des jours radieux ? Des jours nouveaux ? Je crois en vous tous, je le sais, je l'ai vu dans des vies différentes. Nous les élus, avons cette lueur d'incroyable, nous pouvons façonner le monde et fasciner les gens. La bataille de Shuzâ n'est pas simplement celle d'une nation, ni celle pour un dirigeant, mais celle de tous les élus. La première pierre, la première guerre, la première marque.

Rassemblons nous et prouvons au monde notre juste valeur. L'attaque de Kerenys aura lieu dans 4 mois, car il empêche les provisions de parvenir à la capitale et selon mes calculs, il est donc probable que cette attaque ait rapidement lieu. Repoussons ensemble l'envahisseur, je vous convie à ma table, de guerre.

Faites moi parvenir par courrier, votre désir de me rejoindre et je vous fournirais un laisser passer pour ma capitale et mon château.

Tres cordialement.

Zang, Fara Fujin Kujiao.

Zang posa la plume sur l'encrier, la lettre était écrite avec du sang. Il fit une magie pour la dédoubler et dédoubler encore et encore jusqu'à en avoir une petite pile. Puis il appela un garde pour les envoyer aux quatre coins de Kosaten. Puis il s'assit à nouveau à sa table, mais celle ci était vide, ce qui était rare. On ne tarda pas à lui apporter un corps fumé aux bois de hêtre, une lasagne de chair farcie, une tête d'enfant en cube et un apéritif de doigts aux piments. Un verre de sang et de vin mélangé pour avoir un nectar digne de ce nom et un digestif de sake senteur cadavérique. Le diner parfait en somme ! Le Cuisinier pu même repartir en vie, tellement il avait épaté sa seigneurie !

Zang : Alors là ! Chapeau l'artiste... Toi, toi t'es un bon, tu vas rester ici héhé, j'ai bien fait de le faire importer du mukai celui là.

Commençant l'apéro en se lançant des doigts pimentés dans le gosier, il prit l'une de ses lettres écrite, de ses doigts gras, tout en la relisant à haute voix, avant d'éclater de rire et de manquer de s'étouffer sur place.


Zang : Héhé.. HahahAGrAgl... Ahem.. AHAHAH ! Qu'est ce que j'écris bien quand même... Incroyable héhé... Y'a plus qu'à espérer que ça fasse mouche, après tout, y'a du vrai aussi.

Un garde toqua, entra et annonça que des élus désiraient le voir sous peu. Ah oui, Eleanor et Arba encore, décidément elles ne le laissait jamais respirer celles là. Mais bon, que ca faisait plaisir à voir des élus de son coté. Ellen avait été une bien grande déception après tout. Il affirma le rendez vous, mais indiqua au garde de les faire venir plus tard, au dessert. Le type s'inclina en ressortant.

Dans le dos de Zang, une ombre hostile et imposante, une respiration anormale fit son apparition. Lord Vakeran était là, dans le fond de la pièce, à peine éclairé par une bougie.

Zang : Je ne peux pas compter que sur les élus pour ce prochain combat. D'autant plus que les vestiges ont tremblés, cela veut dire que... Les oracles vont avoir un rôle à jouer bientôt. Je veux que tu me ramène Mao, mort ou vif, je préfèrerais vif. Ensuite, il faudra faire quelque chose contre Tenkasuru. Tâche de ne pas te faire repérer hein, ce serait bête quand même ahahah.

Lord Vakeran : ............

Zang : Qui ne dit mot consent ? Ceci étant dit, reste encore un peu, je dois te présenter certaines élues. Tu feras une entrée fracassante plus tard, va dans la pièce d'à coté en attendant, va ! hi hi tu vas voir hey, leurs tête quand elle vont te voir héhé !

Avant de réfléchir, tandis que Lord Vakeran partait se "cacher", dans le même endroit ou était apparut Svenja aux yeux d'Eleanor d'ailleurs, une pièce avec une porte dérobée sur le coté de la salle du banquet, à l'intérieur même de la salle à manger.

Zang : Ah mais elles te connaissent pas non plus, je suis bête HAHAHAH ! Tant pis, vas quand même, ce sera drôle.   

Zang continua son repas, puis attendit patiemment que ses lettres soient envoyés. Il s'imaginait déjà la tête de certains entrain de la lire et manqua une nouvelle fois de s'étouffer en y pensant. Du calme Zang, du calme... Mâcher c'était important dans le processus aussi !  Puis il se leva de sa chaise et regarda à travers la vitre embrumé par la crasse, l'huile, la graisse et la poussière... Passa sa main dessus pour en écarter le tout et voir sa ville.

Zang : Pas question de perdre mon Xalao à moi.   Fit t'il en dessinant un petit smiley sur la fenêtre.

Puis il parti se rassoir, attendant la venue des deux élues qu'il devait voir, décidément, Zang était un homme prit !


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Sujet: Re: Palais d'Eleanor (Post lores) Sam 2 Juil 2022 - 17:18
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Lord Vakeran
















Après une tentative raté de l'empire sur Zang, il fallait désormais frapper plus fort et s'assurer la première grande victoire terrestre sur le territoire de Kosaten. Hors de question pour Kerenys de rester sur une défaite. Le Tyran avait prouvé sa force destructrice et grotesque en assassinant, mangeant, transformant en zombie tout un bataillon de milliers d'hommes... Quant à son second, Vakeran, il était tout aussi dangereux. Cet individu capable de lancer la putréfaction et la mort sur tout un terrain, de façon si ordonnée, non, il n'y avait plus grand chose d'autre à faire qu'accomplir un plan néanmoins risqué, mais qui avait fait ses preuves par le passé. Mao le fils de Zang, était quant à lui revenu un temps à la capitale, accompagné du bras droit du tyran, le père et le "fils" purent alors discuter un peu, Mao lui assura que l'empire n'allait pas tarder à revenir, avec tout plein d'hommes à se mettre sous la dent, se gardant bien de dire la suite qu'il voyait. Cette "discussion père fils" serait pour plus tard, en attendant...

Vous souvenez vous que Kerenys avait vaincu Sou rei à l'époque ? Ce n'était pas une aide certaine. Lorsqu'il était encore jeune, très jeune, Kerenys s'était déjà très bien renseigné sur ce qu'il y'avait à savoir sur Reïfuu, les élus, les souverains et leurs passés, mais aussi les vestiges, les prophéties et sous bons conseils de son oracle suprême, O'hiki, il parvint à mettre en forme une hypothétique prophétie, antique et ancienne. Sous Reïfuu se trouverait une partie des clés de la victoire contre les élus, si ce n'est la plus grande partie d'ailleurs !

Un vestige unique y était enterré, du moins, selon des écrits sauvés d'avant le cataclysme et les connaissances millénaire de son oracle. Avec ces informations, le jeune Vaharys était parti plusieurs fois à Reïfuu, lorsque Sou reï y régnait encore, faisant des plans, des travaux d'excavations un peu partout. C'est sous le temple de Long qu'il le trouva, mais ce n'était pas le vestige de la nation, loin de là. Ce dernier était bien différent, bien plus puissant encore ! En le ressortant peu à peu de terre, le tout jeune empereur ne savait pas qu'il venait d'ouvrir la voie à quelque chose de bien plus terrifiant, mais surtout, qu'il venait d'affaiblir drastiquement le roi de cette nation.

A l'air libre, ce vestige colossal et sphérique, était une menace pour bien des individus, élus ou non. Les gens autour de Kerenys furent soudainement drainés de leurs energie et la sphère lui parla, lui dit alors de la prendre avec lui et l'approcher de la capitale de Reïfuu, pour qu'il constate ses pouvoirs. Lui disant alors qu'il pourrait vaincre son roi, même à cet âge. Prudent évidemment, un large discours d'affrontement d'idées, d'arguments et de tentative de savoir qui piégeait l'autre eut lieu. Jusqu'à ce que Kerenys ne se dit qu'il était plus gagnant qu'autre chose.

Il tenta donc contre Heï, la capitale et enfin avec un groupuscule du Genchijin, s'approcha du roi. Le vestige menaçant juste à l'entrée de la ville, poussé par de multiples chars et chevaux. Mais étonnamment oui, le roi était affaibli, de façon presque incompréhensible et il parvint à le vaincre plus facilement que prévu. L'emportant comme un trophée pour aller l'enfermer à Tenkasuru même, il rapporta ce vestige unique, cette... Arme précieuse, jusqu'à son palais. Lui parlant souvent. "Pourquoi m'a t'elle choisi" ? Parce qu'il veut la mort des élus ! "Pourquoi était t'elle enfermée sous Reïfuu ?" Parce qu'ils m'ont vaincus. "Les élus ?" Non... Les Dieux. Quoiqu'il en soit, cette sphère étrange donna un tournant pour l'empire et la vision d'une victoire écrasante sur les élus un jour.

Finalement, Kerenys l'utilisa surtout pour se protéger des êtres qui menaceraient son empire. Imaginez, une sphère capable de drainer l'energie de tout le monde, au point de les rendre vulnérable ? Malheureusement, aujourd'hui, Kerenys en avait de nouveau besoin. Son siège et son attaque totale ayant échouées toutes les deux, pour vaincre Zang, reprendre la citée de Shuzâ, il fallait ramener la sphère ancienne devant la capitale du tyran dévoreur. C'était cocasse... Une dévoreuse pour un dévoreur. Presque un karma.

Les troupes de l'empire la cachèrent et l'emmenèrent par navire et par char, comme ce fut fait pour Reïfuu. Il n'était pas question d'abuser de ce pouvoir non plus, car Kerenys ne savait pas si nourrir cette sphère était bénéfique pour lui ou non. L'empereur voulait la victoire et ici, c'était une mesure extrême, mais il ne faisait pas forcément entièrement confiance en cette chose du passé et n'était pas non plus aveuglé par une victoire à tout prix. Seulement, le tyran Zang était un cas... Extrême. Peut être le plus fort de tous les élus, passés et présents compris. Alors cette arme était nécessaire. Il donna l'ordre et un nouveau bataillon se réuni alors non loin de la capitale désormais presque déserte, morte. Dans son château, sans serviteur, sans nourriture ou presque, Zang avait mangé ses propres soldats zombies et ne restait alors que lui et Vakeran.

Il se tint devant sa fenêtre, ses yeux gorgés de sang et amaigris, mais toujours aussi fort. Passant sa main sur la fenêtre, celle ci se brisa et finit même par le nourrir. Le lestrygon affamé était encore plus dangereux, car il ne se contentait plus de manger la chair, mais le monde. Zang, dés qu'il touchait quelque chose de ses mains, avec l'envie de manger, celle ci se désintégrait. Mais ce n'était qu'une fausse nourriture, incapable de le nourrir, simplement le préserver conscient. Il serait bientôt parti de lui même, pour chercher à dévorer le reste du monde, mais Kerenys ne voulait prendre aucun risque et le stopper ici, pour de bon. S'il fuyait, ce serait terrible pour tout le monde ! Sortant dans la rue, Vakeran le suivant, le tyran prit la parole tout seul ;

Zang : La dernière leçon n'a pas suffit... Mais me rapporter des encas... Je ne pensais pas Kerenys si bête ahah ahAH AH AH ! Faim... Faim... FAIM.... J'ai tellement faim !

Le bataillon qui avait été rapporté devant et non loin de la capitale morte, était composé de 500 hommes, menés par Harujin Yoma, la sœur d'Harujin Soma, le premier commandant à avoir péris ici même. Une vengeance familiale en plus d'une victoire de l'empire se dessinait clairement. Mais surtout, il était inutile de risquer de pleurer de nouveau autant de bons soldats, Kerenys n'avait autorisé que le nécessaire. Le vestige fut dévoilé lorsque le drap fut levé. Une sphère noircie et mouvante, qui semblait comme aspirer une fumée blanchâtre autour d'elle.

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Zang quant à lui, obnubilé par la faim, aveuglée par elle, même, s'efforça de foncer vers les troupes, les mains grandes écartés et ses dents poussants de plus en plus pointues. Du sang se déversant de ses yeux et de sa bouche, ça rendait la scène tout à fait effrayante, d'autant plus qu'il poussait des cris inhumains en courant. Les soldats stressaient vraiment énormément et certains étaient même entrain de pleurer, traumatisés par l'image qui arrivait vers eux. Pourtant, pourtant, Zang courut de moins en moins vite, Vakeran fut même mis à genoux. Le pouvoir de la sphère menaçante agissait !

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Harujin Yoma: Tenez vos positions, il va céder, c'est dans le plan. Assura Yoma.


Zang : HIIAIAIIAAAAAHAahaaiih... Oh.. ? Oh ! Que que que que m'arrive t'il ? Heiiin ? Je ne peux plus courir ?

Se questionna Zang en voyant derrière lui, Vakeran à terre. Il comprit qu'il venait de tomber dans un piège et leva les yeux pour voir, sur une sorte de grande structure en bois, tiré par de multiples chevaux, cette boule noire étrange aspirer de la fumée venant de son propre corps. Zang se releva alors doucement, regardant d'un air blasé ce vestige, la tête tournant un peu, il commença à sourire légèrement.


Zang : Qui ose... Dévorer un Lestrygon ? Puis il expira tout l'air de ses poumons et enfin, inspira en fixant la sphère au loin. La fumée fit alors doucement marche arrière pour revenir peu à peu dans le corps de Zang.


Les gardes qui voyaient la scène, comprirent que tout ne se passait peut être pas comme prévu. Harujin regarda la sphère, pour voir si quelque chose ne fonctionnait pas quelque part, mais elle ne voyait rien.

Harujin Yoma: Il n'y a pas de failles, c'est le plan de notre empereur. Bataillon cinq, avancez vers la cible pour neutralisation immédiate.

Le fameux bataillon 5 se questionnait, mais au fond, ils avaient leurs ordres et ainsi, cinquante d'entre eux avancèrent.

Garde : Il... Récupère son energie ! C'est possible ça ?
Garde : Attaquez le, attaquez le maintenant, pendant que son sbire est au sol et lui affaibli !
Garde : Oui, oui.. Regardez le, il est rachitique et saigne, il doit plus pouvoir faire grand chose !
Garde : TAYOOOO !

Pris d'une certaine confiance en eux, en voyant le corps amaigris du tyran, ses hémorragies diverses, tout un pan de soldats se donnèrent le mot pour aller l'attaquer d'une seule et même voix, quand certains restaient sur place, encore cloués par la peur, ou par l'instinct. En se rapprochant de Zang, les yeux du tyran dévoreur se révulsèrent pour sortir complètement de leurs orbites... Comme deux vers étrangers et parasites s'enfuyant d'un corps.

La scène était absurde et immonde, ses yeux ainsi expulsés. Ce n'était pas tout, ses bras s'allongèrent en se disloquant soudainement et griffèrent plusieurs des individus qui l'approchèrent, pour déchiqueter toutes leurs faces avant, laissant les entrailles se répandre au sol, le sang se verser et les cris abonder ! Harujin enragea dans son coin, mais espérait qu'un peu de temps serait nécessaire pour que la sphère reprenne le contrôle.

La mâchoire de dents pointues de Zang attaqua aussi tout ceux se rapprochant trop et son cou se disloqua à son tour comme pour se transformer en une sorte de serpent, faisant le tour de plusieurs dizaine, vingtaine, trentaine de soldats et leurs arracher la tête, des morceaux de corps entier, avant qu'une sorte de masse informe ne soit distinguable au milieu de la terre. Zang reprit alors forme peu à peu et semblait même aller un peu mieux.

Zang : O.. Oh oh oh Oups.. J'ai.. J'ai failli me lâcher, vraiment vraiment là ! Je suis désolé héhé haha !   


Harujin Yoma: Marche maudit artefact ! Fit t'elle en lançant un cailloux dessus.

50 personnes venaient de mourir, bêtement. Mais ce n'était plus seulement l'empire qui était contre Zang et cette fois ci, une autre voix pris la parole, cette voix fit léviter dans les air les 449 autres soldats, pour en former une bouillie sous la forme d'une boule de chair uniforme, dont les bouches et cordes vocales des uns et des autres furent relier. Cette masse de chair s'approcha du tyran pour parler, comme la voix de centaine en une seule, tandis que la jeune Harujin Yoma tomba en arrière sur ses fesses, non victime, mais témoin de la scène étrange, elle déglutis en écoutant ce qui se disait.  ;

Boule de chair uniforme : La défaite est inexorable. Mais ton destin n'est pas forcément d'être vaincu par l'empire. Je ne suis pas l'empire, je suis Palais d'Eleanor (Post lores) 1aeb et il se trouve qu'une place est libre, pour me rejoindre. Veux tu être un fléau ou bien être un vaincu ?

Mais Zang était de ceux qui avait un égo et une fierté surdimensionnée. Rejoindre..... Cette chose, n'était pas sa volonté. En revanche, Vakeran se releva doucement et celui qui ne prononçait aucun mot, dit alors ;


Vakeran : Moi... J'ai le désir de vous servir, prenez moi. Je ne souhaite nullement obéir à cette engeance qu'est Zang plus longtemps.


Zang : Oh tu me trahis pour la dernière fois Vakeran...

Zang tenta de frapper son complice, mais Vakeran disparut, absorbé par la sphère et ce pic de déconcentration de la part de notre ami Tyran, n'alla pas vraiment dans son sens. La reprise de la fumée fut plus grande et plus forte encore. Si bien que même là, le grand cannibale ne pu y résister. Il voyait son énergie se drainer et sa vie partir. Il devait faire un choix, un choix qui lui coûtait, mais qu'il fit quand même.

Se délestant de sa chair dans l'instant pour muer, il prit la fuite aussi vite que le vent dans la tempête et disparut à l'horizon. La sphère le laissa faire, elle pouvait le tuer, elle avait prit l'ascendant et le savoir était suffisant. La mission ici, était accomplie. La masse de chair qui avait été formée pour parler de vive voix se déforma et les soldats reprirent leurs formes, comme si rien n'était arrivé. Comme s'ils avaient étés, contre leurs grés, des pantins articulés et désarticulés le temps d'un dialogue. Elle fit tout de même en sorte qu'ils oublient tout, sauf évidemment Yoma témoin de ceci. La commandante expliqua la situation, Zang ayant fuit, Vakeran vaincu et l'artefact... Ayant marché comme l'empereur l'avait dit. Mao était resté au palais sagement, il savait que l'empire ne lui ferait pas de cadeau, donc son rôle à lui s'arrêtait la, mieux valait rentrer à Zouhan pour l'instant.

L'empire avait gagné, c'était le principal non ? Qui s'occupait vraiment de savoir comment. La vengeance était presque réussie, certes, elle aurait voulu tuer de ses mains le tyran, mais il restait encore trop fourbe et puissant.

Ces longs mois de sièges n'avaient pas servis à rien et dés le lendemain, la sphère fut rapatriée à Tenkasuru. L'empire envoya alors des troupes pour sécuriser les lieux et prendre possession de son premier grand terrain dans Kosaten.


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Citation :
Informations importantes :

* Zang (roi/tyran) a fuit Shuzâ et sa capitale. Harujin Yoma le remplace en lieu et place
* Mao est rentré à Zouhan en fuyant par le nord.
* L'empire à gagné la bataille de Zang et envahi la capitale (l'artefact est revenu à tenkasuru)
* Un artefact ancien a été utilisé pour la victoire, mais seuls ceux qui ont observés le champ de bataille peuvent le savoir
* Il était impossible d'entendre la conversation entre la sphère et Zang
* L'empire détient le territoire de Shuzâ en tant qu'envahisseur officiel
* 12000 Personnes sont rapatriés sur place depuis l'empire
(9000 civils dont :  3000 ouvriers et artisans divers et variés pour la reconstruction, 500 intellectuels, 500 mages, 3000 civils de corps de métier différents allant de la politique au vendeur, à l'économiste en passant par le jongleur, 2000 personnes libres de choix, n'ayant trouvés leurs voies nulle part ailleurs et cherchant à creer ici.

(3000 soldats dans toute la capitale, s'assurent du bon fonctionnement et de la sécurité des lieux. Parmi eux, se trouve au moins un membre du Genchijin sur place, assurant la viabilité de cette transition.)  dont la répartition se fait à environs (100 soldats d'élites de très bon niveau, 500 très bon soldats entrainés pour ce genre d'opération, 1000 soldats dont la moitié viennent de base de Kosaten, afin de s'assurer d'une bonne logistique de transition et le reste des troupes communes de l'empire. On compte au moins 30 mages de combats spécialisés)

* Le restant de civils de Zang qui ont étés sauvés sont rappatriés à l'empire. Mais il ne restait que deux ou trois personnes se cachant sur place.

* Le lieu est désormais interdit à tout élu et s'attaquer à Zang(capitale de l'empire sur Kosaten) c'est s'attaquer à l'empire !

* Couvre feu mis en place a 20h (personne autorisé dans les rues entre 20h et 4h du matin) sauf gardes et personnes autorisés pour travaux. Des contrôles aleatoires sont mis en place, pour veiller à cela.

* Surveillance technique et magique opérée autour de la capitale et mise en place progressive d'une meilleure sécurité anti-élue en cours...

* Mise en place progressive d'une invitation aux habitants de Shuzâ, de pouvoir revenir enfin à leurs capitale de coeur ! Tenkasuru prépare sa publicité.

* Une annonce se prépare pour annoncer la victoire de l'empire sur Zang et la libération de Kosaten en cours.  Cela sera disponible pour tous, via le protocole "lune" et la "gazette de kosaten" et d'autres moyens d'informations, quelques jours après cette victoire !

* XUN qui était prisonnier de Zang à lui aussi été libéré et rapatrié dans l'empire pour interrogatoire. Il en va de même pour les prisonniers de la "prison des exilés" tous rapatriés et interrogés.

* Vakeran a rejoint ....... .. ... ....

C'est une victoire de l'empire !  Désormais, Shuzâ est sous autorité de l'empire, mais seule la capitale est interdite aux élus. (interdite ne veut pas dire que vous ne pourrez pas y poster, mais c'est à vos risques et périls)

Sujet: Re: Palais d'Eleanor (Post lores) Lun 12 Fév 2024 - 23:08
Eleanor Burns
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Lors de la défaite de Zang, le lieu avait été abandonné, vidé de ses habitants au profit de Tenkasuru. Peu après, la chronopyrose avait encore fait parler d'elle en ravageant les environs, sauf que deux élues avaient réussi à endiguer le phénomène, sans pour autant empêcher une dévastation de l'environnement, mais bon, les originaux étaient des êtres à la puissance phénoménale. Défigurée, anéantie, réduite à l'état de ruine, une seule élue prit la peine de redorer le blason de ce qu'était, anciennement, la fierté minshujin. Encore une fois, Kansei se relevait, plus étincelante que jamais, plus grande et plus luxuriante qu'avant.

Le monde avançait, la guerre se préparait, les dangers partaient et revenaient au gré du vent, mais une seule option était toujours de mise : sauvegarder Shuzâ. Ainsi, lorsque la nouvelle dirigeante revint du royaume des morts, fut mise au courant de la situation avec les rebelles et des nouvelles du monde, elle prit la peine de réfléchir de longues heures, dans son bureau, assise dans un fauteuil face aux vitres donnant sur l'extérieur, lui donnant le panorama adéquat pour plonger son regard sur l'horizon. La porte toqua à un moment donné.

-"Entrez !"
-"Madame, permettez que je reste, un temps, avec vous pour discuter plus profondément de la suite que vous envisagez pour la nation. Ce n'est pas une décision simple, je le conçois, mais plusieurs sujets méritent votre attention. Nous devons redonner espoir au peuple de Shuzâ, trouver une solution pour Zang, Kerenys a déclaré la guerre aux élus et par conséquent, d'autres dirigeants ont réagi, Rhadamanthys et Gilgamesh."

D'habitude, Eleanor aurait réagi avec un dédain qui lui est propre, mais maintenant, c'était différent. Ce n'était pas qu'elle manquait de mordant, mais maintenant, elle avait la responsabilité de plusieurs centaines de milliers de personnes. Elle fit volte-face et regarda sa gouvernante vampirique avant de croiser les doigts tout en soupirant.

-"Je vois... J'en ai profité pour consulter quelques dossiers que tu as réunis, l'économie du pays, la situation militaire, tout ce qui touche de près à ce qui nous est vital. Il faut agir vite et efficacement. J'ai déjà quelques plans en tête. Dans un premier temps, envoie des troupes pour renforcer la sécurité à Zouhan, je vais envoyer un message à la nation. Je vais avoir besoin de toi pour envoyer des missives un peu partout, aussi. Il est grand temps de mettre un coup de pied dans la fourmilière et de révéler certaines choses au monde entier. Ne traînons pas, dans ce cas."
-"C'est entendu, madame."

Durant le reste de la journée, dirigeante et seconde travaillèrent ensemble pour le futur de Shuzâ, une nouvelle ère commençait, une nouvelle idée se développait.


...............................................

Résumé :

- Eleanor devient la nouvelle dirigeante de Shuzâ
- Elle envoie plusieurs courriers (voir boîte aux lettres mondiales)
- Les actions menées et citées dans les lettres sont effectives directement
Boite aux lettres
Sujet: Re: Palais d'Eleanor (Post lores) Dim 5 Mai 2024 - 15:06
Fujin Zang
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Welcome Home - Zang  













 

Une petite faim sur le chemin après sa victoire, l’avait fait aller directement à la rencontre de village tenkasurien. Entrant dans le premier, Zang salua la foule, peu reconnaissait le tyran ici, tous avaient un jour entendu son nom, contés ses effrayants récits et pourtant, même s’il avait une description exemplaire, son allure romaine, s’intégrait parfaitement à l’empire. En y réfléchissant, l’empire était ce qu’il y’avait de plus proche de son monde. Le but de Fara Fujin Zang Kujiao n’était pas vraiment connu, mais il en avait un. Refonder Xalao et la race des lestrygons.  

Pour cela, il lui avait fallut plusieurs choses. D’un part, revenir sur le devant de la scène, c’était presque le plus simple. Une fois revenu, le fléau des Dieux avait donc repris sa place de pouvoir. Mais en vérité, le pouvoir n’intéressait pas forcément Zang. Régner en terreur, avait un certain style, cela pouvait même être drôle, mais c’est surtout dans l’intérêt que ça apportait, que c’était vraiment interressant. Au-delà de ça, c’était juste ennuyeux au fond. Devoir gérer des gens, devoir les écouter, devoir, devoir, devoir…

Zang n’était pas feignant, au-delà de bien des apparences, il aimait le chaos, la guerre, les stratégies, la nature profonde des choses le fascinait. Comment étaient les gens, comment ils étaient devenus et comment ils se faisaient parfois dévorer par leurs propres sentiments, âme. L’abysse de l’Homme et la Créature semblait aussi profond que le pouvoir divin lui-même !  

Chez les lestrygons, une malédiction avait été infligé, les obligeants à devenir ce qu’ils étaient devenus, la race failli disparaitre, ne laissant que le plus redoutable d’entre eux en vie. Mais Zang n’entra pas seul en ce monde, il prit celui qui le prit sous son aile un jour, dans les grands sénats de Xalao ! Xun… Celui qu’il considérait comme son ami. Allez savoir pourquoi les dieux avaient choisi lui et son ami pour débarquer un jour en Kosaten, loin de ce monde romain et de la malédiction de la déesse.  

En ce monde, Xun fit tout pour réprouver Zang, après tout, ce dernier avait massacré le sénat, pris le contrôle du monde chez lui, il ferait de même ici… Tout recommencerait encore. Il essaya de le stopper, en vain, le lestrygon prit le dessus et enferma son ami pendant des millénaires durant, s’assurant de le briser, sans le tuer, pour le garder sous sa coupe. C’était ici le second point, en faire un allié, mais ce procédé serait long, très long.

Venait alors une autre paire de manches, pour refonder les lestrygons, il fallait une descendance ! Pour avoir une descendance, il n’y avait pas trente-six solutions. Zang aimait les plaisirs de la chair, mais pas comme la plupart des gens bien sur. Peu le savent, mais au tout début, dans ses débuts en Kosaten je précise, il était un charmant personnage, drôle et attachant, curieux de ce monde et dont les victimes disparues ne couraient pas autant les rues. Il n’avait pas la réputation du tyran d’aujourd’hui et ça, il fallait bien le prendre en compte…

Il ne voulait pas une descendance basique, comme les autres. C’est pourquoi il mit un plan au point, qui se prolongea sur de nombreuses années, le temps qu’il ait la force suffisante pour l’appliquer. Devenant une menace de plus en plus importante pour le monde désormais, il fallut attendre le reboot et sa « disparition » pour qu’il l’applique. Disparition me dites-vous ? Zang était devenu si « menaçant » pour l’équilibre du monde, où il avait compris les règles divines, qu’il fut « effacé » de la réalité, mais en fait, même les Dieux n’eurent pas ce pouvoir. Le reboot ayant changé quelques règles, Zang se retrouva dans un « autre » Kosaten et ou son double existait.

C’était parfait, c’était quasiment ce qu’il désirait, à peu de chose près… Il élimina son double encore trop frêle, s’assurant d’ailleurs qu’il ne puisse jamais revenir du royaume des morts. Qui de mieux que Zang, pouvait vaincre Zang ? Il était et resterait le candidat parfait pour ce genre de chose. Mais quoiqu’il en soit, il fallait bien expliquer une chose, c’était comment un tel être avait pu avoir un fils ? C’était là, toute la subtilité de la chose, le tyran despote ne faisait pas les choses comme tout le monde…  

Zang passa un pacte avec l’être qu’il estimait le plus puissant avec lui, le roi des morts. En échange de nombreuses âmes, il désira retirer ce que le roi aimait le plus prendre, à son double. La première fut ses souvenirs, sa mémoire entière fut absorbée par le roi des morts et remodelé pour qu’il ne soit plus celui qu’il était. Puis, il fut condamné à n’être qu’un jeune homme natif, un pouvoir déjà entre les mains de Tenkasuru, loin d’être inaccessible au roi du trépas ! Mao vieillirait également plus lentement que la moyenne. Ainsi, le double du despote maléfique, qui errait dans le royaume des morts, devint… Mao, fils de Zang, qui n’était autre que son lui d’un autre monde.  


Mais quid de comment deux « élus » a priori, pouvaient survivre dans le même monde, normalement cela altérait la personne, ses souvenirs, jusqu’à son intégrité physique. C’est pour cela, que dans ce pacte, le tyran ajouta une close au contrat, que son double devienne un oracle, sans jamais se souvenir de ce qu’il fut et deviner cela un jour ou l’autre. Car Kujiao savait que les oracles avaient ce pouvoir, lire le passé, l’avenir et les pensées les plus intimes des élus d’une nation. C’aurait été à double tranchant, que de laisser une telle faille…  

Quand les élus passaient au royaume des morts, ils perdaient les souvenirs qu’ils en avaient, tel était le paiement, ici, le roi accepta car, entre le paiement en âme et le reste, il restait gagnant. Il permit donc à Mao de devenir un futur oracle, décideur savant de ce qu’il verrait dans l’avenir des autres élus. Tel était le plan, du la plus machiavélique créature qui soit !

Zang : Aaaah, te revoila …. Mon fils !

Et c’est en retournant en direction du pays, de Shuzâ, prêt à prendre connaissance des changements et être le guide de la suite des choses, du grand plan !

Palais d'Eleanor (Post lores) F3zs

Mao : Oui, oui, tous les chemins mènent à mon papounet chéri ! J’imagine que tu retournes à Shuzâ emmerder la rousse, enfin, j’imagine rien, j’ai tout vu. Ca va être funky, mais tu veux vraiment rester autant en retrait ? J’ai du mal à voir aussi loin que je le voudrais avec toi, t’es le seul à qui ça fait ça.

Zang : Ah, mais c’est parce que je suis un V.I.P dans ce monde moi ! Puis, ma petite vampire a besoin de moi.

Mao : Tu es au courant que la plupart de tes élus veulent ta peau ? Enfin, c’est rhétorique, réponds pas, je sais déjà. Eeeeh bien c’est parti, allons yyyy quoi ! Ca fait longtemps que je l’ai pas emmerdé et elle attends tellement ma venue !  

Zang : C’est l’amour mon fils, que veux-tu ! Les femmes restent des femmes, avec ou sans crocs ! Hé hé ! Bon, on a un peu de route, mais la suite n’attends pas, n’est-ce pas ! En piste vers mes élus préférés. Puis, je ne leurs en veux pas d’êtres comme ça, ils ne me comprennent pas encore ou bien, respectent ce qu’ils sont, je ne les juge pas. Je suis sans doute un de ceux qui les comprends le mieux après tout !

Au fil du chemin, le paysage de Shuza finit par se dessiner. Ce beau paysage autrefois bien vert, puis cendré, semblait peu à peu renaitre de ces dernières justement ! Eleanor commençait, difficilement mais surement, à faire ce qu’il faut. Toutefois, Mao le prévint de quelque chose ;

Mao : : Mouais, sinon si tu veux tout savoir, la rousse à un peu pété un cable dernièrement, elle a foutu ses élus en taule, enfin une bonne partie, pour démontrer qu’elle avait les ovaires aussi grosses que son melon. Résultat pas tip top.

Zang se mit alors à rire :  

Zang :  Bwhaha !! Raison de plus pour que je revienne non ? C’est pile poil mon moment, on va aider ma belle vampire à se faire cette place qu’elle veut tant. Comme tout bon papa, on se doit d’aider tous ses enfants héhéhé ! Dit alors Zang en s’asseyant sur le sol  

Mao roula les yeux, d’un air légèrement blasé, il savait très peu à quoi s’attendre en général avec son père, peut être en raison de ses gênes, pensait il, mais en vérité, à cause ce ce qu’il était et du pacte passé au royaume des morts avec le roi ! Il secoua légèrement la tête ;  

Mao : Ça promet d’être fendart, je veux être là pour voir ça, de mes propres yeux. Même si j’le savais déjà    bluffa t’il un peu.  

Le père lui sourit d’un air carnassier, puis il créa un oiseau de chair de son propre corps, pour amener une lettre à l’attention des élus en prison, dont  Mao lui parla un peu plus avec le trajet. L’oiseau prit les devants et la lettre serait donc envoyé avant leurs arrivées….

Après plusieurs heures, ils finirent par arriver aux abords même de la capitale. Ils prirent le temps de l’observer. Ce vestige d’autrefois, désormais, rebâtie, revisité, surprotégée et pas qu’un peu ! Les gardes l’arrêtèrent lui et son fils, comme s’ils étaient de simples pégus… Avant de se rendre compte qu’ils avaient devant eux Zang et l’oracle de la nation, rien que ça !  

Zang :Eh bien, c’est bien ! Belle protection, belle réactivité messieurs !

On le laissa entrer sans faire de vague, après tout, c’était Zang, on ne faisait pas de mal au despote et ancien chef. Les gens de Kanseï ne savaient pas trop comment réagir. Certains étaient évidemment partis prévenir la cheffe, d’autres se méfiaient, d’autres encore accueillait le despote en héro (par crainte plus qu’autre chose hein) certains par contre, semblaient légitimes dans leur accueil à ce dernier, respectant peut-être sa force ? Qui sait… En tout cas, il entra sans bracelet, mais sous bonne garde et surveillance. De même pour Mao.  

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En résumé :  


- Zang a terminé ses vacances
- On apprends qui est en réalité Mao
- Mao revient a Kansei avec Zang
- Zang revient à Kansei
- Zang envoie une lettre (avant son retour) aux élus
- Zang devient le bras droit et conseiller d'Eleanor




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Sujet: Re: Palais d'Eleanor (Post lores)
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